jeudi 24 février 2011

A LA DÉCOUVERTE
D'AUTRES RÉALITÉS


J’étais donc dans cette situation lorsque je rencontrais Catherine.
Je n’étais jamais sortie du milieu juif même si j’avais des amis non juifs.
Mais au fur et à mesure que je voyais se dérouler ma vie, j’étais de plus en plus perplexe. Animée de profonds ressentis et intuitions, j'étais inexorablement attirée à l’extérieur de mon milieu de naissance que je trouvais trop obtus et trop borné d'autant que j'étais passionnée par ce qui est au delà des apparences et que les juifs  eux, ne sont intéressés que par la matière, l'argent, faire illusion et leurs soi-disant preuves ! 
J’ai toujours pensé qu'au delà de la vitrine qu'ils s'évertuaient pourtant à protéger  de toute leur puissance, se trouvaient les vrais  réponses aux questions de fond que je me posais.
-" Tu ne dois croire que ce que tu vois. Le reste n'existe que dans ta tête. Et puis as-tu une seule preuve de ce que tu avances ?"    
Ah ! les preuves, c'est bien la seule chose qui compte.
C'est la raison pour laquelle, j'allais passer des années à travailler sur ces fameuses preuves tellement importantes.
Et aujourd'hui ce livre est un recueil ou plutôt un faisceau de preuves !
Comme quoi, on peut être pris à son propre piège !     

Pour moi, les apparences ne sont que l’aspect superficiel des choses, donc manipulables et modifiables à souhait comme  un décor, une vitrine. Ces apparences sont tout de même fondamentales car elles procèdent d’une intention. Elles ont une fonction, un but précis tel le décor et la vitrine. Et comme ces derniers, les apparences donnent nécessairement des informations sur la réalité sous-jacente. C’est ce que je voulais découvrir : ce qui se cachait  derrière les apparences et qui me paraissait être une convergence de faits, à mes yeux.
Ayant été élevée dans une famille et une communauté ultra matérialiste qui  ne croit en rien d’autre que ce qu’elle voit, ne s’élève jamais au dessus de la matière, de l'argent, du visible, du tangible, je partais donc de zéro. Mais il me fallait absolument trouver un point d’entrée pour débuter. Je savais que j’aurai besoin de temps pour l’étude et la recherche, en plus d’un travail de réflexion personnel, d’un cheminement.         
Naturellement mes questions de fond portaient sur la  religion et la spiritualité. Je faisais des constats qui soulevaient de vrais problèmes sans que je ne puisse trouver le début de la moindre réponse. Aussi j’en conclus que j’allais commencer par utiliser d’abord mon vécu. J’avais déjà là de la matière.
J’étais convaincue que chaque aspect matériel, concret, tangible avait son origine dans l’immatériel, l’abstrait, l’intangible à l’image de l’idée, principe abstrait préalable à tout projet concret. 

Or, c'était bien ce qui s'était passé avec cette abus de bien social. Mes ressentis, mes intuitions s'étaient effectivement manifestés matériellement à travers cette histoire.
C'était donc bien la preuve que ces intuitions qui n'étaient que divagations pour mes parents avaient une valeur bien réelle. Et surtout que lorsque la preuve est là, visible, devant vos yeux ébahis, il est déjà trop tard : le mal est fait !

Il y avait aussi eu cet immeuble commercial, superbe bâtiment en pierre de taille qui avait apporté dans ma vie, un divorce, une séparation avec mon frère, que j’avais eu tant de mal à acquérir, tant de mal à vendre, et tant de difficultés à rentabiliser. Autrement dit, j’avais dépensé une quantité énorme d'argent, de travail et d’énergie pour un résultat catastrophique.
Là aussi, dès le départ, je sentais ce projet d'acquisition compliqué, aucune fluidité mais il était très beau avec un emplacement numéro 1. Mon ex-mari le voulait à tout prix et moi aussi, pourtant son propriétaire  voulait s'en débarasser prétextant mille et une raisons. Après coup, j'appris qu'il y avait perdu beaucoup d'argent et que sa femme ne voulait pas s'en occuper alors qu'au départ il l'avait acheté pour elle. Et finalement, ils s'étaient  séparés.      
Donc le résultat était catastrophique pour eux et pour nous !
Il n’y avait donc pas de hasard ! 

Curieuse par nature, adorant lire et découvrir, je cherchais des livres sur les maisons et tombais sur le Feng Shui alors que je n’avais aucune idée de ce que c’était. La lecture fut passionnante et je découvris un univers qui m’était jusqu’ici inconnu où il était question d’énergie à toutes les pages : énergie des  lieux, des objets, des couleurs. Je constatais qu’il y avait une grande logique dans le feng shui qui était basé sur les mêmes principes de circulation d’énergie que la médecine chinoise à laquelle j’avais déjà eu recours plusieurs fois.
Le plus étonnant pour moi fut que cette science utilisait l'astrologie.
Or j’avais découvert l’astrologie quelques années auparavant et j'y avais trouvé les prémisses de réponses à mes questions. J’avais fait faire mon thème natal deux fois. La première fois, l’astrologue m’avait donné des informations très intéressantes sur mon environnement familial, sur les grands évènements  et les périodes-clés de ma vie. Quant à la seconde, son analyse ne m’avait pas convaincue, elle était pleine d’erreurs. Question astrologie, j’étais frustrée. Je sentais qu’il y avait plus à découvrir, que cette science millénaire devait renfermer un potentiel énorme d’informations à la fois personnelles et globales sur la vie.
Je lus plusieurs livres de Feng Shui et au dos de l’un d’eux, il y avait les coordonnées des auteurs qui donnaient des formations. Je m’inscrivis et suivis quelques sessions avec eux. Je fis également une formation sur la couleur pour en savoir davantage bien que je l’utilisais déjà intuitivement commercialement. J’étais alors toujours commerçante et  papillonnais d’un domaine à l’autre.

Un jour, lors d’une de ces formations, j’entendis parler de Catherine comme d’une excellente astrologue et je décidais de la contacter. Elle m’expliqua comment elle travaillait et je  lui commandais mon thème natal que je recevais quelques jours plus tard enregistré sur une cassette.
Je fus totalement abasourdie par ce que j’entendis. Cette femme qui ne m’avait jamais vue, avec laquelle j’avais simplement échangé quelques mots par téléphone me décrivait ma vie telle qu’elle avait été jusqu’à présent avec force détails et aussi les grandes lignes de ce qui m’attendait. Tout reposait sur les influences astrales que l’on recevait à la naissance. Elle précisait dans son envoi qu’une fois que j’aurais écouté la cassette, je pouvais l’appeler pour lui poser des questions.
Je l’appelais et passais plus de deux heures au téléphone à lui poser mille questions. J’étais stupéfaite. J’avais vraiment trouvé là une matière passionnante et une femme captivante. Je convins de la rencontrer lors de mon prochain voyage dans la capitale qui ne tarda pas. Catherine avait un cabinet et une clientèle importante. Elle avait plusieurs cordes à son arc : astrologie, kinésiologie, énergétique, massage thérapeutique, shiatsu.
Sa clientèle était fidèle et règulière et pour chacun, elle adaptait la technique selon le  besoin du moment.  
Dans un premier temps, nous continuâmes avec l’astrologie car il y avait d’autres choses à explorer. Je compris que le thème natal est aussi fondamental pour une personne que sa carte d’identité. Encore davantage puisqu’elle lui donne même des informations qu’elle n’a pas ou dont elle n’a pas conscience.

Si vous voulez en connaître davantage sur vous-même, commencez par là, à condition bien sûr de trouver un astrologue compétent.     
L'étude qu'elle réalisa pour moi me confirma ce que j’avais déjà compris :  il n’y a jamais de hasard en rien ni pour rien.  
Catherine me fit également découvrir nombre de thérapies alternatives ou médecines douces.
J'étais à des années-lumière du monde juif tellement limité.
J'appris que tout est basé sur l’énergie, les circuits énergétiques dans le corps à l’instar de la médecine chinoise qui m’avait déjà tellement bien réussie. Bien que dotée d’une bonne santé, j’avais néanmoins quelques douleurs et problèmes récurrents dont Catherine me débarrassa rapidement grâce à quelques séances en énergétique.
J’étais totalement bluffée. Elle m’expliqua que le corps garde la conscience de tout, absolument tout ce qu’il a vécu et vit au jour le jour.
Tout est engrammé là dans notre corps physique jour après jour, minute après minute, ce qui fait que l’on peut aller y chercher l’information précise relative à un symptôme, à un trauma ou à une maladie pour le guérir. Alors que ce n’est pas du tout le cas du conscient qui lui ne garde en mémoire qu’une partie des informations, d’abord parce qu’il a tendance à occulter toutes les données relatives aux vécus douloureux ou traumatisants, qu’ensuite il a tendance à oublier ce qu’il  n’utilise pas souvent ou les informations qui ne lui sont pas remises en mémoire régulièrement et qu’enfin il n’a pas conscience de grand chose.
La conscience du corps ! Cela m’ouvrait un champ d’exploration aussi inédit qu’immense. Cela  voulait dire que toutes les réactions physiques que nous avons sur telle ou telle  situation ou personne ne sont pas    dues au hasard mais plutôt à un vécu  que nous re-connaissons avec cette situation ou cette personne.
Ces réactions physiques sont authentiques parce que spontanées, elles ne sont pas manipulées par le conscient qui souvent n’y prête même pas attention, n’en a pas conscience, c’est le cas de le dire. Pour qu’il en est conscience, il faut les lui pointer du  doigt.

Ce fut pour moi une découverte capitale qui allait m’aider à mettre en place les pièces du puzzle. C’est là que je compris que mes réactions avaient un fondement, que je n’étais pas folle comme on avait voulu me le faire croire.
C’est là aussi qu’instantanément je réalisais que nous avions à notre disposition dans notre corps un potentiel immense d’informations qui pouvait nous apporter des clés essentielles pour notre santé, notre bien-être, pour notre vie.
Nous allions chercher à l’extérieur ce que nous possédions à l’intérieur.   
Je découvrais un univers où j’étais complètement ignorante mais totalement subjuguée.

LA  PREUVE 

A Catherine
pour ton aide, ta patience, ta compassion, ton affection.
C’est grâce à toi si j'en suis là aujourd’hui.
Merci.

Au véritable et légitime Créateur de la Race Humaine,
Puissent Tes enfants enfin reconnaître leur vrai Père.


Catherine, ma meilleure et seule amie, tenta de se suicider le 18 décembre 2009. Je savais qu’elle était à bout depuis déjà longtemps, comme moi d’ailleurs, mais les derniers évènements vécus furent la goutte de trop, celle qui fait déborder le vase, et la manière qu’elle choisit pour mettre fin à ses jours ne laissait aucun doute sur son état d’esprit ni son intention.
Après un périple de 900 kilomètres sous une tempête de neige, j’arrivais enfin chez elle et découvris une maison ravagée. On me rapporta que les pompiers avaient été obligés de casser volets et fenêtres pour la sortir de ce tombeau mais aussi pour aérer la maison qui pouvait exploser à tout moment. Elle avait placé trois bouteilles de gaz près de son lit, ouvertes naturellement, et plus d’une trentaine de bougies allumées avaient été disséminées dans toutes les  pièces. Malgré tout cela, rien n’avait sauté.
Elle avait été transportée à l’hôpital en pleine nuit et dès le petit matin, demandait à être ramenée chez elle et c’est ce qui se passa aussitôt son bilan de santé terminé. C’est à ce moment-là que je la retrouvais.
Elle allait plutôt bien pour quelqu’un qui avait tenté de mettre fin à ses jours. Les pompiers avaient été stupéfaits que la maison n’ait pas explosé. Quant au médecin qui s’occupa d’elle, il fut sidéré de constater le bon état de ses poumons après pareille inhalation.

Pour Catherine, la descente aux enfers avait commencé petit à petit douze ans auparavant, quelques temps après notre rencontre début 1998.
A l’époque, elle vivait à Paris où elle exerçait la profession de thérapeute, et gagnait très bien sa vie. De nature solitaire et indépendante, elle s’était organisée une nouvelle vie après son divorce. Elevée dans la religion catholique, elle en avait pris  ses distances très jeune, bien que très croyante.
C’est donc en tant que cliente que je la rencontrais la première fois. Je n’habitais pas Paris à l’époque mais ma vie de commerçante, m’amenait régulièrement dans la capitale. Je profitais de ces occasions de voyage pour m’occuper de moi, m’intéresser à d’autres domaines, sentant poindre un profond changement dans ma vie. Un changement que je désirais plus que tout.
Catherine m’avait été recommandée pour être  excellente et je recherchais autant la compétence que la discrétion. Dans la ville de province où je vivais, notre grande famille était très connue. Un grand nombre de commerces lui appartenait, aussi étant plutôt discrète de nature et déjà exposée commercialement, je ne tenais pas à l’être aussi personnellement, d’autant que je vivais des situations graves depuis plusieurs années. Enfin, disons, de plus en plus graves.
La dernière en date m’avait enfin donné la preuve que mes ressentis étaient justes depuis le début, aussi j'étais décidée à quitter cette famille. Je n’en pouvais plus. Je venais de vivre plus de six ans de calvaire et ne comprenais toujours pas pourquoi j’avais droit à tant de malveillance de la part de ces gens.



Si seulement je m'étais écoutée...      
En 1990, à l’initiative de mon frère, plus jeune que moi de six années, nous nous étions rapprochés commercialement.
Nous avions auparavant chacun nos propres affaires mais la manière magistrale dont je m’étais sortie du désastre financier à la suite de mon divorce lui avait donné l’idée de travailler avec moi.
Avant cela, nous n’étions pas vraiment proches, nous nous étions même éloignés progressivement depuis mon mariage, mais pendant l’été 1985, alors qu’il  négociait l’achat d’un nouveau magasin dans le centre commercial, juste en face de là où nous étions déjà installés mon mari et moi, il me proposa de m’en céder une partie.
Le magasin qu’il convoitait avait une superficie trop importante pour son projet qui était de créer une énième  boutique franchisée identique à celles qu’il possédait déjà dans les rues du centre ville. Il possédait les droits d’exploitation exclusifs pour toute la ville d'une grande marque de prêt-à-porter mais en contrepartie devait avoir un nombre minimum de points de vente. Aussi, il n’était pas décidé à  laisser passer cet emplacement numéro un.
Il me demanda alors si j’étais  intéressée par en prendre une partie à des conditions très avantageuses.
Cette idée comportait des avantages pour chacun de nous.
De son côté, il avait l’emplacement et la surface parfaite qu’il désirait et pour ma part, je faisais une affaire en payant le prix d’un super emplacement inversement proportionnel à sa surface.
Et, il était juste en face de là où nous étions déjà installés mon mari et moi.
L’autre gros avantage était que ce magasin serait uniquement le mien. J’étais à ce moment là en instance de divorce et mes affaires étaient aussi celles de mon mari bien que nous soyons mariés en séparation de biens.
Un paradoxe hérité de mes parents qui m’avaient obligée à me marier, comme eux, sous contrat pour ensuite me conseiller de mettre nos deux noms sur tous nos biens!
Bref, ce magasin, si je l’acceptais, serait uniquement à moi. C’était une aubaine d’autant que le divorce s’annonçait long et difficile.  Bien sûr, je saisis cette opportunité.
Commercialement cela ne me posait pas de problème puisque à l’opposé de mon frère, nous n’avions que des commerces multi-marques.
Et puis cet arrangement avait aussi l’avantage de calmer le climat délétère qui existait depuis que, justement, pour acquérir cette exclusivité, il avait, avec l’aide de notre père, négocier un contrat dans notre dos à mon mari et moi. Contrat qui nous retirait la distribution de la marque que nous exploitions auparavant.
Un jour, mon frère avait débarqué au magasin nous annonçant tout content qu’il en était désormais le dépositaire exclusif pour toute la ville.
A l’époque, elle était une des plus importantes de nos magasins. Elle représentait une part importante de notre chiffre d’affaires notamment dans le dernier magasin que nous venions d’acquérir qui nous avait coûté une petite fortune. Il fallait à tout prix rentabiliser cet important investissement. Ce fut un coup dur d'autant qu’il fallut se retourner très vite pour trouver un produit de remplacement.
   


Aussi, après que mon frère m’eut offert cette opportunité, le climat se radoucit considérablement entre lui et moi surtout que simultanément je vivais un divorce difficile qui me mettait à rude épreuve sur tous les plans.
Le travail m’aidait à tenir le coup et j’étais déterminée à garder les magasins que nous avions acquis depuis notre mariage.
Au fur et à mesure que je les récupérais, je procédais à des restructurations. Je voulais travailler en collaboration plus étroite avec certains fournisseurs avec lesquels j’avais développé d’excellentes relations et dont les produits se vendaient très bien.
En effet, j’étais celle de nous deux qui s’occupait de tous les aspects commerciaux : sélections et achats des produits, relations fournisseurs, gestion commerciale des magasins, présentation des produits, réassorts... etc.

Je souhaitais désormais proposer des articles qui initialement  n’existaient pas dans leurs collections en leur demandant de les fabriquer pour moi. Des produits dont je savais qu’il y  avait une demande importante.  

Ce fut le cas notamment pour deux marques. Le succès immédiat m’aida à sortir plus rapidement que prévu des gros soucis financiers dans lesquels je me débattais depuis mon divorce. Je me fis rapidement connaître pour mes idées originales et avant-gardistes, pour mon flair à faire fabriquer des vêtements aussi jolis que commerciaux. La couleur fut aussi une composante commerciale essentielle dans mon approche. Mes concurrents tentèrent de s’approprier mes fournisseurs mais c’était peine perdue car cette fois-ci j’avais verrouillé mes partenariats!

Mon frère, lui, avait suivi de très près mon évolution commerciale pendant et après mon divorce et c’est à ce moment-là qu’il entreprit des travaux d’approche pour une association.
Sur le plan personnel, j’étais ébranlée et vulnérable.
Cela faisait des années que je luttais seule. Bien sûr, il y avait  mes parents mais comme à leur habitude, ils me laissaient me débrouiller. Autant mon frère était leur dieu vivant à qui ils  passaient tous les caprices, autant moi c’était l’exact opposé,  surtout depuis sa naissance et encore plus depuis mon mariage.
Mis à part les fêtes, les  repas de famille où nous nous voyons mais ne parlions jamais de rien d’important, du moins à mes yeux, j’étais vraiment seule.
Heureusement, j’avais ma fille. 
Au moment de notre rapprochement, mon frère avait beaucoup plus d’argent que moi. Il travaillait peu, préférant faire travailler les autres. Le projet qu’il me présenta était mirobolant. Il s’agissait d’unir nos forces pour créer une entreprise via plusieurs sociétés qui contrôlerait tout d’amont en aval, depuis la fabrication jusqu’à la distribution.
C’était mon rêve !        
Et il est vrai que nous avions chacun nos propres talents.  
Aussi à plus d’un égard, cette proposition me tentait.
Je connaissais les talents financiers de mon frère qui obtenait toujours tout ce qu’il voulait. Quant à moi, mon ambition et mes besoins personnels y voyaient là une opportunité de réalisation, et aussi l’occasion de revenir dans le giron familial et recevoir enfin l’attention, la reconnaissance et l’amour qui me manquaient tant depuis mon enfance !
J’avais trente cinq ans à cette époque et j’aurai fait presque n’importe quoi pour être reconnue par mes parents à ma juste valeur.  Aussi, je plongeais sur cette idée si bien présentée et vendue par mon frère. Et puis je voulais y croire. J’avais besoin d’y croire. Mes parents paraissaient ravis. Ils retrouvaient leur fille après ce mariage si calamiteux.


Au fur et à mesure de mes rendez-vous professionnels avec mon futur associé,  il y avait de plus en plus de choses concernant les différentes étapes du projet que je ne sentais pas du tout mais étant donné qu'il me rassurait en permanence sur tous les points qui me posaient problème, nous continuâmes à avancer.
J’avais besoin d’argent pour liquider des dettes anciennes, mon frère me proposa alors de racheter une partie des parts sociales d’une de mes sociétés qui possédait un immeuble très bien placé en centre ville, ce qui représentait une somme d’argent conséquente.
Mais il y avait là quelque chose qui ne cadrait pas dans le montage juridique et financier. Je le sentais ainsi et lui en fis part mais il resta intraitable et me répondit :
- "Encore une fois, tu te fais des idées".
C’était le refrain  familial qui reprenait du service. 
Néanmoins le montage me paraissait tordu.
- "Ne t’inquiète pas", me rassura-t-il, "c’est le conseiller juridique de la famille, (qui appartient au plus gros cabinet de la ville dont la renommée va jusqu’à Paris) qui prépare les documents. Tout est parfaitement en règle."
Il était vrai qu’un de nos cousins, un homme d’affaires très prospère, était aussi client du cabinet en question, les ayant même préférés aux professionnels parisiens, bien qu’habitant la capitale.
Bon. Cependant, il y avait toujours ce petit quelque chose que je ne sentirai pas jusqu’à la signature finale mais malheureusement, je ne m’écoutais pas.
Mon frère me voyant tout de même sceptique demanda à notre père d’assister à la signature chez le conseil juridique comme garant de ses bonnes intentions.
Un conseil qui nous était commun dans cette affaire.
Notre père, égal à lui même, se plia aux exigences de son fils et assista à la signature.
Pourtant j’aurai du me souvenir de la trahison qu’il m’avait déjà faite, négociant derrière mon dos le contrat de franchise pour son fils chéri. Déshabillant l’un pour habiller l’autre, tout en niant quelque mauvaise intention en me disant :
- "Comme d’habitude, il faut toujours que tu fasses des histoires  pour rien. Tu sais bien que tu as des qualités professionnelles que ton frère n’a pas."


Le jour de la signature concrétisant notre association, le conseil juridique me présenta les choses de telle manière que je me sentis en confiance. Tout avait été vérifié et était équitable pour les deux parties. Ce qui était bien le rôle qu’il avait à tenir dans ce cas de figure. Les papiers furent signés. Nous étions désormais associés mon frère et moi, sur nombre de sociétés présentes et à venir bien que deux d’entre elles restèrent en propre à chacun de nous, attendant de voir comment les choses évolueraient. Parmi ces sociétés désormais en commun, la cession de parts sociales qui me faisait tellement souci avait été également signée, mon frère récupérant ses parts et moi mon argent.
Mais l’année suivante, ce fut une autre histoire qui débuta. Notre expert-comptable dont le cabinet jouxtait celui du conseil juridique puisqu’ils travaillaient le plus souvent sur les mêmes dossiers avec les mêmes clients m’appela :
- "J’ai besoin de vous voir au plus vite. Quand pouvez vous passer?"
- "De quoi s’agit-il pour que ce soit aussi urgent ?"
- "Cela concerne le bilan de votre société que je suis en train de terminer."
Je convins rapidement d’un rendez-vous avec lui.
Cela ne faisait pas deux minutes que j’étais assise dans son bureau qu’il m’annonçât que le montage de la cession de parts tel qu’il avait été fait me mettait en abus de bien social caractérisé avec toutes les conséquences que cela entraînait.
En fait, je ne fus que moyennement étonnée qu’il y ait un problème mais par contre totalement sidérée par sa nature. Cela faisait maintenant des années que je ressentais une malveillance familiale mais je n’en avais jamais eu aucune preuve concrète. A chaque fois que j’émettais le moindre doute à ce sujet, j’étais rabrouée, traitée encore et toujours de "spéciale", "de penser des choses curieuses qui n’ont aucun fondement".

Eh bien là j’étais servie, j’avais ma preuve et pourtant ce n’était pas la première mais celle-ci, était de taille !!
J’expliquais à l’expert-comptable que tout ce montage juridico-financier avait été concocté par les bons soins de son voisin de palier, maître reconnu en matière juridique.
Il était donc urgent de le rencontrer avec mon frère.
Il fallait trouver des solutions et vite puisque j’avais touché une somme d’argent sur laquelle je n’avais aucun droit, appartenant légalement à la société, donc en partie à mon frère. C'était donc du vol. Mon frère de son côté avait acquis malhonnêtement des parts sociales d'une valeur conséquente sans avoir rien payé pour les obtenir.
Quant à l’argent que j’avais touché de cette vente, il avait  déjà été utilisé à rembourser des dettes, comme prévu dès le départ.
Nous décidâmes d’un rendez-vous en présence du conseil en question et de mon frère.
Aussitôt sortie, je lui téléphonais pour lui donner le jour et l’heure du nouveau rendez-vous sans pour autant l’informer du motif, pour éviter qu’il fuit, le connaissant trop bien.


Il arriva chez l’expert-comptable avec moi mais par contre le conseil juridique n’avait pu se libérer pour l’heure convenue. Nous commençâmes notre petite réunion à trois où il lui fut expliqué la situation gravissime dans laquelle je me trouvais à cause de la manière dont avait été montée cette cession de parts.
Il tomba des nues !!!
Et dès le lendemain, il se faisait hospitaliser en urgence,  comme à son habitude lorsqu’il avait un problème ou une contrariété qu’il ne voulait pas assumer.       
Le conseil juridique fut invisible pendant plusieurs jours jusqu’à ce que, furieuse, je prenne rendez-vous chez mon avocat qui, lui, le convoqua séance tenante, une fois que je lui eus expliqué en détails toute l’affaire. Il me confirma que le conseil avait commis une faute professionnelle grave car il aurait du  me prévenir des risques encourus puisqu’il était conseil des deux parties sans parler du fait qu’en sa qualité de professionnel et donc de sa responsabilité, la manière dont il avait conçu cette cession était pour le moins discutable.
Et il me dit :
- "Il faut d’ores et déjà prévoir de l’impliquer pour vous  protéger car selon comment les choses évoluent, vous risquez une peine pénale en cas de contrôle fiscal."
J’en avais pour trois ans à avoir cette Epée de Damoclès au-dessus de la tête.
Mon avocat était un homme en qui j’avais toute confiance. Il m’avait aidée à gérer mon divorce et avait réglé d’autres affaires pour moi.
Il était mon avocat et non pas celui de la famille. A diverses reprises, mon père et mon frère l’avaient rencontré pour certaines de leurs affaires mais cela n’avait  jamais vraiment collé entre eux.
En fait avec le recul, je pense qu’il savait très bien à qui il avait affaire.
C’était un homme à la tête d’un très gros cabinet et grâce à sa renommée d'avocat pénaliste, il pouvait  choisir ses clients et ses dossiers.
Aussi après m’avoir dit :
- "Vous vous êtes faite rouler dans la farine", il prit mon dossier en main.
J’étais présente lorsqu’il reçut le conseil juridique et là j’appris que ce montage spécifique avait été demandé par mon frère.
- "J’ai averti votre frère des conséquences que ce montage avait pour vous mais il me rétorqua que vous étiez au courant et aviez donné votre accord. Il m'a même précisé qu’il vous avait offert une compensation importante dont les modalités s’étaient réglées en famille".
D’où la présence de mon père pour aval aux yeux du conseil.

Le conseil était vraiment mal à l’aise, il pouvait soit mentir, soit dire la vérité, soit un mélange des deux. J’optais pour la seconde solution, reconnaissant bien là les manières de faire de mon frère tout en me disant intérieurement que je trouvais tout de même bizarre qu’un professionnel ait pu avaler une histoire aussi énorme, à savoir que j’aurais accepté de prendre un tel risque et de me mettre à ce point en danger !
Au vu de ses réactions, je compris que d’un point de vue extérieur, tout cette histoire  faisait un peu "mafia", aussi il avait sûrement préféré ne pas trop chercher à connaître les détails ni se mêler des arrangements internes à la famille.
Par contre, il n’avait eu aucun problème à facturer des honoraires astronomiques, ce que mon avocat lui fit adroitement remarquer au moins pour la facture me concernant puisque tout avait été ventilé par société. Il lui fut demandé de me faire un avoir du montant de cette facture, donc de rembourser ce qui avait déjà été encaissé, ce qui était pour mon avocat un premier pas dans le sens de la reconnaissance de sa responsabilité.
Ensuite il lui demanda de faire le nécessaire et le plus rapidement possible afin que mon frère me rende les parts sociales acquises frauduleusement. Ce qui signifiait un nouvel acte de cession de parts en sens inverse avec encore des taxes, impôts, honoraires et autres à payer. Tous les frais devraient lui être facturés. Il était également clair que nous  gardions la possibilité de porter plainte contre le conseil si j’étais mise en cause par l’administration fiscale.

Nous étions mi novembre 1992. C’était une année qui avait été faste en événements. Je reviendrai d'ailleurs sur la totalité de cette année.
Une fois cet aspect de l’affaire réglé si l’on peut dire, je tenais à rencontrer mon père qui était déjà au courant, ne serait-ce que par l’état de santé de son fils qui avait nécessité une hospitalisation immédiate.
Ne le trouvant nulle part, je fis un saut à la clinique où mon frère était depuis plusieurs jours et je trouvais là mes parents dans tous leurs états au chevet de leur fils adoré, attendant la visite du médecin.
Le moment était mal choisi pour lui parler. Mais mon frère, lui, profita de l’occasion, sur son lit d’hôpital, pour dire qu’il était vraiment désolé, que "si il avait su, il n’aurait jamais fait les choses de cette manière".
C’était vraiment se moquer du monde, enfin se moquer de moi. J’avais certes des problèmes affectifs mais idiote, je ne l’ai jamais été.
Mon père renchérit disant que "pour preuve, il n’y a qu’à voir dans quel état toute cette histoire l’a mis".
J’attendrais donc l’occasion de demander à mon père:
- "Comment est-il possible que toi qui est dans les affaires depuis plus de quarante ans avec un nombre d’associés, d’affaires de gros et de détail incalculable, n’ait pas compris ce que ton fils était en train de faire ?"
Je n’y croyais  pas une seconde. Mon père savait parfaitement ce qui se passait. Bien sûr, il ne reconnut  jamais rien et me dit :
-"Tu fais quand même beaucoup d’histoires pour pas grand chose puisque tu n'iras jamais en prison. C'est  vraiment n’importe quoi."

Le fait est que curieusement, c’est lui qui paya la note finalement.
Comme je l’ai dit brièvement plus haut, nous étions, mon frère et moi,  associés sur la majorité de nos affaires et de nos sociétés mais certaines nous étaient restées en propre à chacun.
Il y avait notamment un magasin sur lequel je n’avais jamais cédé qui m’appartenait toujours. Il en était de même pour lui sur deux sociétés.                         
Nous étions au début du mois de décembre 1992 quand j’appris par mon frère, enfin sorti de l’hôpital, qu’il venait de recevoir un avis de contrôle fiscal sur ses sociétés et sur ses comptes personnels. Il fut ré-hospitalisé immédiatement, ce qui faisait deux fois et bientôt trois, quatre, cinq. En fait entre  novembre 1992 et avril 1993, il était à mi temps à la clinique. C’était vraiment pratique.  
Lorsqu’il m’apprit la nouvelle de son contrôle fiscal, je paniquais totalement. Etant désormais associée, qu’allait -il se passer pour moi ? Il  y avait de grandes chances, comme souvent dans ce cas de figure, que je vois aussi débarquer l'administration  pour nos sociétés communes et que je me retrouve dans une posture délicate. Naturellement j’avisai immédiatement mon avocat qui me dit :
- " Ne paniquez pas, nous avons des biscuits".
Néanmoins, je passais un hiver horrible et décidais d’en finir avec cette sale famille et toutes ces histoires tordues. Il fallait que je sorte de là de toute urgence. Mais reprendre ma liberté, c’était commencer par sortir de toutes ces sociétés dans lesquelles j’étais associée.
Je n’avais plus personne pour m’aider sur le plan juridique et comptable et surtout je n’avais plus confiance en personne, excepté mon avocat mais qui dans ce domaine ne pouvait rien pour moi.
Il me fallait un nouveau conseil juridique et un nouvel expert-comptable.
Chez moi, c’était hors de question, je n’avais plus confiance. Sur Paris, toutes les personnes qui m’étaient recommandées ou que je connaissais étaient juives, faisant plus ou moins partie de notre entourage. Je ne voulais pas non plus.
Je me sentais comme piégée. Il fallait que je fasse attention à qui j’allais choisir, connaissant trop les interrelations et interractions par intérêts croisés de tous les gens de la communauté.
Finalement, je trouvais un cabinet sur Nice.
 
Nice est une ville où vous avez deux sortes de professionnels:  ceux qui sont très rigoureux justement parce qu’ils sont sur Nice et ceux qui le sont moins. Je rencontrais là une femme visiblement étrangère à notre communauté qui me fit très bonne impression. Elle paraissait  intègre, pointilleuse et rigoureuse, ce qui m’allait parfaitement. Elle était associée à un expert - comptable du même acabit. Je leur expliquais donc l’affaire et ce que j’attendais d’eux.
Il y avait deux solutions ; où mon frère reprenait toutes les sociétés où il fallait toutes les dissoudre et les liquider. Dans tous les cas, comme j’étais, de surcroît, caution solidaire pour tous les prêts et découverts bancaires, il fallait agir avec prudence.
La situation était catastrophique notamment à cause de son ampleur, du nombre de sociétés concernées, des interrelations entre elles concoctées par le montage juridique tordu de mon frère et du conseil juridique.  
Début février 1993, je n’avais toujours pas récupéré mes parts sociales. De toute façon, je voulais faire vérifier le document par mon nouveau conseil avant de le signer. Et entre mon frère malade, les fêtes de fin d’année et moi cherchant de tous côtés des gens compétents, on s’était vite retrouvé en février. 
Maintenant que je connaissais les options possibles, je devais prendre un peu la température familiale.

Comment allait-il réagir à tout cela ?
Pour lui en fait, tous ces évènements ne changeaient rien.
Il s’était excusé et paierait les dégâts. On allait remanier ce qui n’allait pas et on continuait comme si de rien n’était.
D’ailleurs entre deux hospitalisations, il avait trouvé un locataire pour un de nos immeubles commerciaux.
J’étais vraiment sidérée, c’était dans la droite ligne du comportement de mon père: aucun état d’âme, aucune conscience, aucune valeur, il n’y a que l’intérêt qui compte.
-"Pourquoi dramatiser et faire autant d’histoires, il ne t’arrivera rien et de toute manière je paierai ce qu’il y a à payer. Continuons, ce serait dommage de gâcher un si beau projet".
J’étais abasourdie en plus d’être furieuse.
Mais cette fois-ci, j’avais la preuve là sous les yeux à travers  cette situation traumatisante que mes ressentis, mes intuitions avaient toujours été justes.
J’avais raison depuis le début et même s’ils niaient encore, comme toujours,  quelque mauvaise intention, alléguant de mes éternelles idées bizarres et m’accusant de faire le mauvais choix en me séparant d'eux sous l’influence néfaste de mon "avocat goy",  leur discours n’avait plus d'impact sur moi, j’étais décidée à aller au bout de cette séparation.
Décidément, je n’étais pas faite du même bois que ces gens-là qui banalisaient toujours lorsqu’ils commettaient des actes répréhensibles et dramatisaient toujours lorsque ils étaient attaqués.
Ils démontraient une logique bien à eux et des réactions déconcertantes pour toute personne dotée de conscience.
En résumé, il n’y avait pas de problème, le problème venait de moi.

Lors d’un de mes voyages parisiens suivants, je rencontrais le fameux cousin fortuné à qui je racontais  toute l’histoire et qui me répondit:
- " C’est courant en affaires".
Plus tard, j’appris qu’il en avait fait de belles et qu’il n’était pas arrivé en haut de l’échelle sociale blanc comme neige.
Il est vrai qu’il y a toujours des professionnels pour accéder aux demandes peu orthodoxes de leurs clients à partir du moment où il y a des honoraires conséquents à la clé.   

Heureusement, j’avais mon avocat pour allié. C’était bien le seul qui me donnait raison. Et au moins il prenait mes dossiers à bras le corps pour des honoraires très raisonnables.
Pour moi, il n’y a rien de pire que de banaliser, de nier, de réduire à néant les ressentis d’un être humain car cela génère, au fil du temps, une souffrance profonde indicible en plus de saper la confiance et l’estime de soi.             
Donc lorsque mon frère me donna son point de vue, je lui rétorquais :
- "En ce qui me concerne, cette histoire est terminée. Il est hors de question de travailler ensemble. Soit, tu me rachètes mes parts, soit je m’occupe de dissoudre et de  liquider les sociétés."
C’est à ce moment là qu’il me révéla  que j’étais également liée à mes parents par deux d’entre elles.
C’était le bouquet. Je ne décolérais pas. Et surtout je commençais à paniquer de voir tout cet imbroglio se dévoiler devant mes yeux.
Finalement, j’avais vu clair depuis le début mais je ne m’étais pas faite confiance et on m’y avait bien aidée.
Il y eut même un moment où je me demandais si  j’allais tenir le coup lorsque je découvris toute cette manipulation orchestrée en coulisse.
Je suis  forte mais il y a quand même des limites surtout lorsque l’on n’est soutenue ni moralement ni affectivement d’autant que j’ai toujours été vulnérable sur le plan sentimental ayant besoin d’authenticité, d’intégrité et de profondeur.
C’est vrai que je suis née au bon endroit!
Donc je voulais me séparer de quelqu’un qui ne voulait pas. Encore une fois ! (voir chapitre sur mon mari).
Et encore une fois, je devais être prudente.
Il faudrait entretenir des relations avec la famille le temps de sortir de tout ça. Il faudrait composer puisque visiblement j’en avais pour un moment.
Effectivement, cela dura cinq ans avec des tensions particulièrement difficiles à gérer les premières années. Mais les traditions familiales n'en furent pas modifiées pour autant. Nous dînions régulièrement ensemble le vendredi soir et passions bien entendu toutes les fêtes ensemble, comme si de rien n’était.
Le problème n’existait pas, c’était moi qui le créait.

Je récupérais les parts sociales volées au printemps 1993 et n’eus jamais de contrôle fiscal.
J’avançais prudemment dans cette déconstruction juridique mais vu les imbrications qui avaient été mises en place entre mes parents et mon frère, il arriva un moment où je devais faire signer des papiers à mes parents qui, entre temps, étaient partis vivre  sur la Côte d'Azur d'où ils ne revenaient que de temps à autre pour s’occuper de mes grands-parents maternels.
Que mon frère et mes parents ne veuillent conserver aucune de ces sociétés étroitement liées entre elles par des accords soustraits à ma connaissance me démontra, s’il en était encore besoin,  combien leur seule intention avait été de m’utiliser à mon insu. Et d’autant plus que je leur avais fait très naïvement une démonstration de mes talents commerciaux avant mon association sur un de leurs magasins qui avait des résultats catastrophiques pour lequel j’avais redressé la situation en moins d’une année, reconstituant un bénéfice appréciable sur lequel je ne reçus naturellement jamais un centime.

Cette fois-ci, c’était au tour de ma mère de signer les papiers. J’avais peu affaire à elle directement car elle était passée maître dans l’art de manipuler fils et mari à qui elle faisait faire ce qu'elle voulait.
Ma mère aura vécu toute sa vie en se faisant passer pour celle qu’elle n’est pas, c’est à dire une pauvre victime, innocente, sans défense alors qu’ elle fut une manipulatrice redoutable agissant par procuration, laissant ainsi le soin de parler et d’agir à son mari et ensuite à son fils.
Mon frère devint dès sa naissance son bras armé contre moi, et tout particulièrement dans cette affaire où il s’agissait de se garantir des rentrées d’argent substantielles pour des années alors qu’ils approchaient de la retraite.
Le comportement de ma mère me posa longtemps un vrai problème de compréhension car c’est une femme que je voyais et ressentais plus peureuse que courageuse se cachant derrière son mari puis son fils, n’ayant aucun talent particulier autre que celui de séduire ses proies, de manipuler et de mentir à tout bout de champ, en plus d’être une grande comédienne.
La signature de ces documents fut finalement la seule fois où nous nous confrontâmes directement.
Un matin où je l’avais prévenue que je passerai à l’hôtel lui faire signer des papiers, il y eut une scène particulièrement violente dans la chambre d’hôtel où ils étaient descendus.
Il s’agissait d’une société où j’abandonnais tout, argent, bénéfice, parts sociales, et prenais les jambes à mon cou tellement épuisée, écoeurée et effrayée de ce que ces gens étaient capables de faire. Mais elle refusa de signer les papiers. Il était clair qu’elle ne voulait pas me rendre ma liberté, et que l’argent n’était que l’alibi ou plutôt  la carotte pour mieux m’asservir à leurs intérêts. Et moi, j’avais été assez naïve pour tomber dans le filet. Ils avaient utilisé mes besoins affectifs et dieu sait que j’en avais,  pour servir leurs intérêts - j’avais apporté mon savoir faire par le biais de marques et de produits pour lesquels j’avais signé des contrats d’exclusivité en mon nom qui rapportaient beaucoup d’argent mais à partir du moment où je partais, ils partaient  avec moi. Maintenant qu’elle avait goûté au bénéfice qu'ils généraient, elle ne voulait pas les lâcher.
Elle me joua sa grande comédie:
- "Nos rapports me rendent malheureuse. Tu es ma fille. Tu dois faire des efforts pour le bien de la famille. Combien de fois, j’ai accepté des choses qui ne me convenaient pas de mon propre père, de ma belle-mère, de mes belles -soeurs. Il faut mettre nos divergences de côté pour rester unis.Il n’y a que la famille sur qui nous puissions compter les uns les autres. Je suis ta mère et je veux ton bien. "
Elle se mit à pleurer à chaudes larmes se lamentant que je ne l’aimais pas, que je ne l’avais jamais aimé lui préférant mon père, qu’elle était très malheureuse, blablabla.
Et qu’elle espérait toujours qu’on devienne amies ! 

Ma mère a toujours été hystérique avec l’argent. Il a toujours été sa seule préoccupation, sa seule unité de valeur, sa seule motivation et l’objet de toutes ses batailles.
Et  moi, j’attendais de l’amour et de la reconnaissance de ces gens ! Désormais, je mesurais l’étendue des dégâts qu’une telle éducation avait eu sur moi qui ne rêvait que de nobles sentiments, de vérité, d’authenticité  de profondeur, de beauté.
Ce constat était risible s’il n’avait été dramatique.

J’étais née dans une famille pire qu’une prison où la liberté de penser et d’être n’existe pas où ne règne que la monotonie de la fameuse Tradition.
Non seulement elle m’avait instillé insidieusement au fil des années des croyances empoisonnées, en plus de m’ imposer une autorité oppressive et prégnante, une soumission à la famille via le respect des aînés et plus largement à la communauté via le respect des Traditions.
En fait, je n’existais pas pour eux en tant que personne ayant une nature, une individualité, une  conscience unique. Ils ne comprenaient même pas ce que cela voulait dire. Je n’étais qu’un élément appartenant à une famille, à une communauté et qui devait la servir. Situation encore aggravée par le fait d’être une femme.
La femme juive est inférieure à l’homme, reléguée aux fins fonds de la synagogue où religieux, rabbins et autres, ne lui serrent même pas la main de peur qu’elle soit "impure", ce qui signifie "avoir ses règles".
Il est interdit aux femmes juives d'étudier les textes sacrés du Talmud. Elles doivent se cantonner à comprendre la Bible. Cela me mettait dans une colère noire lorsque j'entendais mon grand-père et mes cousins dire que "nous, les femmes étions juste bonnes à essayer de saisir le sens de ce conte pour imbéciles, femmes et enfants."   
Aussi en tant que femme, je ne pouvais que m’attirer des ennuis en voulant étudier sérieusement les textes, en revendiquant des idées subversives à leurs yeux, une conception de la vie prônant indépendance, autonomie et liberté de pensée.
Mon grand-père me dit plusieurs fois :
- "C’est un miracle que tu sois encore en vie."
A l’époque je ne compris pas du tout pourquoi il me disait cela d’autant que c’était une des nombreuses fois où je le harcelais de questions sur des aspects que je trouvais suspects de la religion.

Or dans cette chambre d’hôtel, j’eus la grande maladresse de lui dire que j'allais raconter tout ce qui se passait dans cette famille. Je n’aurai jamais dû proférer ces menaces avec en plus une telle violence mais à l’époque, je ne réalisais pas à quel type d’individus j’avais affaire, je n’avais ni le recul ni la conscience ni la connaissance que j’ai actuellement et je me mis inutilement en danger. Pourtant je savais pour l’avoir déjà expérimenté plusieurs fois que je devais réfréner mes pulsions et mes besoins de vérité et d’authenticité, que je devais plutôt mentir et ne jamais dévoiler mes intentions mais ce jour là, ma mère m’avait mise hors de moi et ma nature impulsive avait pris le dessus. 
Finalement, elle signa les papiers et ne dit rien de plus mais je savais qu’il y aurait des conséquences à cette entrevue.
Comme à son habitude, ma mère avait encore cherché à me soutirer des informations, à sonder mon état d’esprit du moment pour pouvoir ensuite adapter sa contre-offensive.
Elle avait commencé par la douceur essayant de m’apitoyer, ensuite me manipulant jusqu’à me faire sortir de mes gonds. Et encore une fois, elle était arrivée à ces fins. Elle avait désormais ce dont elle avait besoin pour agir en conséquence.
Et j’allais payer mon inconséquence le prix fort.   
J’avais trente neuf ans et elle, soixante deux !
Il se passa un certain temps avant que je ne revis mes parents.
Pendant ce temps, je continuais à défaire tout ce qui avait été fait sur ces sociétés et j’y laissais pour ainsi dire tout. Mais cela n’avait plus d’importance. Je m’étais faite acheter par de l’argent pour de l’argent, m’imaginant que par ce biais, j’achetais la part d’amour, de reconnaissance, d’appartenance et de respect qui m’étaient dus par cette famille. L’argent n’était qu’un outil pour moi, non la finalité. Or maintenant que j’avais la preuve tangible que tous mes ressentis étaient fondés, je n’avais plus besoin d’argent, tout du moins dans le sens, amasser, thésauriser.  

Le moment arriva où je me retranchais dans mon dernier bastion, mon dernier magasin qui en fait avait été le premier, celui sur lequel je n’avais jamais cédé. Ce magasin m’avait toujours été bénéfique. Je décidais de licencier le personnel existant et de me recentrer dans ce petit espace avant de partir vers une nouvelle vie.
C’est à cette époque, lui abandonnant tout ce qui me restait dans nos sociétés en commun que je négociais avec mon frère une somme d’argent à venir pour solde de tout compte.
J'avais rencontré Catherine et commençais à m’intéresser à d’autres réalités.

Mais cet accord qui finalement me liait encore à cette famille allait me revenir en  pleine figure à un moment où je ne m’y attendais pas et m’en étais "presque sortie".  
INTRODUCTION


AVERTISSEMENT:
Vous vous apprêtez à prendre connaissance
d'informations choquantes et politiquement incorrectes.
Aussi à tous ceux qui trouvent
  quelque excuse que ce soit,
quelque circonstance atténuante que ce soit
aux Juifs, à tous les juifs,
sionistes ou non,
je conseille vivement
de cliquer sur le bouton pour sortir du blog.
Que ceux qui choisissent de rester
le fassent en toute connaissance de cause.

Il y avait déjà un certain temps que je sentais monter en moi le besoin d’écrire l’histoire de ma vie, lorsqu’un évènement particulièrement violent sonna l’urgence de ce témoignage.
   
Je suis née au printemps de l’année 1956 dans une famille juive ashkénaze installée dans l'ouest de la France depuis les années 1920. Mes deux parents ainsi que toute ma lignée d’ancêtres paternels et maternels sont juifs.
     
Ma vie au sein de cette famille fut toujours  difficile et ce depuis ma naissance mais avec le temps, les choses s'aggravèrent. J'étais différente. Je ne rentrais pas dans le moule. J’avais toujours une opinion, une façon de voir les choses, de comprendre les évènements différentes d’eux. Ma conception et compréhension de la vie étaient à l’opposé des leurs, si bien que mes idées anticonformistes, donc subversives, représentèrent vite  un danger car elles menaçaient la Loi et la Tradition.
Malheureusement, je mis beaucoup de temps à prendre conscience de cela, beaucoup trop de temps à saisir ce qui se passait réellement et quelles étaient les forces en présence. Trop longtemps surtout à réaliser combien ces gens mettent absolument tous les moyens en oeuvre pour vous garder captif,  pour que jamais vous ne les quittiez ni eux ni la communauté, pour que jamais vous n’ayez la possibilité de parler et donc de les trahir. Dans un premier temps, ils tentent de vous acheter  par de l’argent,  tactique  systématique qui marche invariablement avec presque tout le monde.  Si la personne prend conscience de ce qui se passe et n'accepte plus d'être "achetée" survient la seconde phase qui consiste à employer des moyens drastiques pour la neutraliser, éradiquer le danger qu’elle représente.    
Le principe de base est que vous leur appartenez. Votre vie n’a pour seul et unique but que de servir la communauté.
Si vous êtes et faites exactement ce que l'on attend de vous, vous avez une vie plutôt tranquille avec plus ou moins d’argent, de pouvoir et d'honneur.
Si ce n’est pas le cas, les ennuis commencent.

Au fil des pages, vous découvrirez ma vie, les  évènements et situations vécus, la violence, la subtilité, la perversité de ce qui a été fait contre moi.
Jusqu’à il y a encore peu de temps, j’ai toujours pensé que le problème venait de moi. Tout avait été fait pour ça. Depuis mon plus jeune âge, je fus contrée, cataloguée comme étant «spéciale», rejetée pour mes idées, mise à l’index, maltraitée  psychologiquement et émotionnellement. Ce fut l’attitude générale de toute la famille, au sens large, envers moi alors que vu de l’extérieur, rien ne se voyait jamais.
J’étais toujours parfaitement habillée avec des robes de prix pour une petite fille.
Je partais en vacances avec mes parents dans les hôtels les plus luxueux du monde.
J'étais selon ma mère "gâtée-pourrie".
Je ne perdis rien de ma joie de vivre, ni de ma vivacité jusqu’à l’âge d’environ 8/9 ans mais ensuite petit à petit, je commençais à m’éteindre, à devenir triste, à prendre du poids, à me renfermer sur moi-même.
A l’adolescence, je développais néanmoins une personnalité bien affirmée, rebelle et impulsive.             
Aussi le curieux mélange entre l’éducation que je reçus, les idées que l’on m’inculqua sur moi et sur la vie, et ma personnalité fut explosif et je pris des décisions à l’emporte-pièce, fis de mauvais choix, de grossières erreurs et manquais totalement de discernement pendant la plus grande partie de ma vie.
Aussi le lecteur pourrait estimer que l’histoire qu’il va découvrir est pure folie mais c’est grâce à ces "folies", à ces égarements, à ces manques de discernement, à cette souffrance profondément ancrée qui provoqua en moi de violentes réactions, que je n’eus de cesse de chercher pourquoi je vivais de telles situations que j’estimais totalement injustes et irrationnelles.

A l’âge de trente ans, à la suite d’un divorce difficile, je pris la décision de réfléchir sérieusement à ce qui ne marchait pas dans ma vie. J’étais une jeune femme ouverte d’esprit, plutôt intelligente, travailleuse et courageuse, ayant du coeur, ce que je vivais ne collait pas du tout avec ma nature et me paraissait totalement injuste. Je sentais que la réponse se trouvait ailleurs, au delà des apparences.
Depuis petite, j’ai toujours été intéressée par ce qui ne se voit pas, tout du moins à l’oeil nu, mais par contre que l’on sent très bien. On appelle cela l’intuition. Cette forte intuition que je possède depuis toujours, je mis trop longtemps à  l’écouter, pour mon plus grand malheur.
Ma quête débuta à la synagogue où pendant un temps je me rendis régulièrement pour demander de l’aide à dieu, étant profondément croyante et subodorant quelques causes cachées à toutes mes mésaventures et à toute cette «malchance».

Aujourd’hui, plus de vingt ans après le début de mes recherches et une quête personnelle longue et éprouvante, j’ai découvert que mon problème dépasse de très loin mon cadre personnel et individuel, comme on avait bien voulu me le faire croire, pour incarner un problème global, mondial.
Ces découvertes se firent progressivement, par palier, aussi j’adaptais et modifiais ma vie au fur et à mesure de mes compréhensions, ce qui impliqua des changements brutaux de direction. Il ne pouvait en être autrement avec mon tempérament  passionné, réactif et intègre.
Toutes les conclusions auxquelles je suis arrivée jusqu’à ce jour reposent sur mon vécu, mon  expérience personnelle, mes recherches et mes compréhensions.
C’est grâce à ces choix et à ces vécus que j’ai acquis aujourd’hui une force irréductible et une volonté à toute épreuve.
C’est grâce aussi à mes découvertes aussi horribles fussent-elles que je suis en mesure de vous livrer mes réponses personnelles aux problèmes d’une extrême gravité que rencontre l’Humanité depuis quelques millénaires mais particulièrement dans la phase en cours.  
Puisque les juifs n'ont qu'un seul but : détruire la Race Humaine.    

Avant de rentrer dans le vif du sujet si naturellement vous voulez bien me suivre, je vous dirais d’emblée que les noms des villes et des protagonistes ne sont pas révélés, à raison. Ainsi les seuls qui pourraient reconnaître cette histoire sont ceux qui y sont impliqués.
Je vous parlerai simplement, franchement, directement, sans ambages ni circonvolutions. Ni non plus langue de bois ou complaisance. Ce livre n’est pas un roman, il raconte des évènements vécus, il parle de la vie, de ma vie.

Mon but est d’apporter, d’une part, un témoignage de la vie à l’intérieur de la communauté juive, du fonctionnement de la dite communauté et de ce que des juifs peuvent faire subir à d’autres juifs s’ils sont différents et présentent donc un danger pour le groupe. C’est principalement la première partie du livre. 
Il est aussi de vous exposer le résultat de mes recherches et de mes découvertes à ce jour qui sont les conséquences directes de mon vécu et sont traitées dans la seconde partie.
Les choses sont graves pour ne pas dire catastrophiques, aussi  j’ai pensé qu’il y avait urgence à vous livrer ce que je sais et ai compris à ce jour, en l’état.   
Les non juifs doivent impérativement se réveiller pour combattre et survivre.
Car le processus de leur propre destruction est dans sa phase finale.
Simplement pour se battre, il faut savoir à qui on a affaire vraiment.
Il faut connaître son ennemi.
Or la grande force des juifs est de "piper les dés" en permanence. Ils travaillent constamment à manipuler les informations et les évènements, ce qui rajoute un peu plus de confusion à celle déjà existante.
Mais les efforts qu'ils déploient sont à la hauteur de l'enjeu: s'approprier la planète et faire de tous les non juifs, enfin ceux qui survivront, des esclaves du peuple élu.  
Je préviens le lecteur qu’il va lire des choses difficiles,  choquantes jusqu’à être insupportables, qu’il risque donc de  vouloir balayer du revers de la main.
La connaissance est cependant le passage obligé pour quiconque veut reprendre en main sa destinée d’être humain et récupérer enfin son héritage de naissance, celui qui lui a été donné par son véritable créateur, et depuis usurpé par le peuple juif.

Vous aurez par moments le sentiment de ne pas comprendre où je veux en venir, de quoi je parle et pourquoi j'aborde tel ou tel sujet qui parait sans lien. Vous pourrez avoir l’impression que je m’éparpille, il n’en est rien, je sais exactement où je vais et où je vous emmène.

Je reverrai et augmenterai régulièrement le texte au fur et à mesure de mes recherches et cela sera noté en début de chapitre par la mention "revu et augmenté".

Pour tirer bénéfice des informations données, je vous demande d’avoir l’esprit ouvert, d’élargir vos perspectives, de laisser de côté vos croyances, vos certitudes, vos endoctrinements, vos préjugés, au moins le temps de la lecture.

Je vous en remercie par avance.
Nous sommes en guerre mais cette guerre-là, trop peu de gens en sont conscients. Pourtant, elle est là, bien réelle et met la vie et le devenir de l’être humain en danger comme jamais auparavant.

Voici donc mon témoignage en tant que fille du peuple élu...
Dana Goldstein

mardi 15 février 2011

LA CACHEROUT

LA TAXE CACHÈRE



I - INTRODUCTION
La cacherout désigne le code alimentaire prescrit aux juifs par la Loi. Elle constitue l'une des bases de la religion et de la culture juive.
La cacherout donne des instructions très précises sur les aliments et produits qui peuvent être consommés ou non et sur la manière de les cuisiner. Ce code prévoit aussi les procédures d’abattage des animaux (voir vidéo en fin de chapitre - personnes sensibles s'abstenir), et aussi les viandes, poissons et autres crustacés autorisés ou interdits à la consommation.
Par conséquent, toute nourriture absorbée par un Juif doit être cachère pour être en conformité avec la Loi. Même chose pour les boissons.
Il y a des catégories d'aliments qu’il ne faut pas consommer au cours d’un même repas, comme par exemple, les aliments carnés et les produits laitiers. Il y a donc deux vaisselles, une pour les viandes et l’autre pour les aliments lactés.
Les textes sont très stricts sur ces questions.
Les aliments et produits sont certifiés cachers par le consistoire et les procédures de cachérisation supervisées par les rabbins. Pour les produits manufacturés, les processus de fabrication sont eux aussi surveillés par les rabbins. Tous les aliments et produits comportent, une fois agréés "cacher", sur leur emballage le sigle adopté par  le consistoire ou les associations religieuses qui ont pour responsabilité d'en vérifier la conformité selon la loi juive.
Ces sigles nombreux varient selon les pays et les organismes superviseurs.
Cette certification a un coût élevé qui est répercuté sur le consommateur.      
Les vins portant le logo cacher doivent eux aussi passer le contrôle rabbinique. Toutes ces règles très contraignantes assurent aux Juifs de consommer des produits sains selon la loi hébraïque.
Si tous les Juifs ne mangent pas cacher, il y a tout de même des moments de l’année, comme les fêtes et des évènements tels que brit-mila (circoncision), bart-mitsva (communion des garçons), mariage, enterrement où la nourriture proposée est le plus souvent cachère pour la simple et bonne raison que ces situations à caractère religieux requièrent la présence d'un rabbin qu'il faut pouvoir honorer d'une collation cachère.

     
LA KOSHER TAX
Aux Etats-Unis où j’ai séjourné souvent et longtemps, le problème de la cacherout prend une autre ampleur.
Bien qu'il y ait toutes sortes d'épiceries, de boulangeries, de boucheries, de petits supermarchés, de delis où acheter ses aliments cachers, la grande majorité des produits alimentaires (et autres)  proposés dans les supermarchés à l'intention des goys  sont vendus avec le logo kosher comme par exemple :


le ketchup Heinz



la gamme des céréales Kellogs 



la lessive Tide



et des milliers d'autres produits


Que signifie un logo kosher imprimé sur l’étiquette d’un produit ?
Cela veut dire que ledit produit a été approuvé par un organisme de certification reconnu par le consistoire israélite ou tout autre institution juive.
Pour qu'il reçoive cette certification, les rabbins  doivent, comme je viens de le dire, en vérifier les ingrédients et superviser les processus de fabrication. C’est seulement une fois ces étapes franchies avec succès que le produit devient kosher et peut porter sur son étiquette le logo de l'organisme juif qui l'a certifé.
Ces procédures ont un coût important qui varie suivant les entreprises, la nature des aliments ou produits, le nombre de références de leur gamme à certifier, la quantité produite, la fréquence des inspections de contrôle etc.
Toutes les entreprises sous-traitantes qui fournissent les ingrédients nécessaires à la fabrication du produit sont elles aussi visitées et taxées par les rabbins.


Ce coût est alors répercuté sur le consommateur goy sous forme de taxe par une augmentation du prix du produit.


Des millions de dollars sont générés par cette arnaque sophistiquée qui vont devinez où ? Financer Israël. 


A chaque fois qu'un Américain achète un produit portant un logo kosher, il  paie une  taxe, la certification cachère, qui finance la politique israélienne via les organisations rabbiniques !
Or en 2010, la presque totalité des produits vendus au supermarché américain sont kosher.


C'est une véritable extorsion de fonds légalisée puisque le consommateur paie, qu'il le veuille ou non et à son insu bien sûr, cette taxe.


Même si cela ne représente qu’une "fraction infime  du prix tellement minuscule  qu'elle est impossible à calculer", comme s’en défendent ces organisations et l’ADL qui crie encore une fois à l'antisémitisme et vont même jusqu'à dire"Grâce aux énormes quantités produites et vendues, cela fait baisser le prix du produit",il n'en reste pas moins que ce coût est répercuté sur le consommateur.

L'ADL (L'Anti Defamation Ligue) et Wikipédia parlent d'un coût de  0,0000065 cent par article,"coût tellement minime qu'il en est inexistant". Or si l'on multiplie le nombre de références de produits concernés, le plus souvent des produits de base par le nombre d'Américains (environ 300 millions ) et par la quantité consommée sur une année, les chiffres en bout de ligne ne sont plus du tout insignifiants.


C'est une véritable manne qui tombe dans l'escarcelle juive !


Le titre de l'ADL en réponse à cette taxe est  The "Kosher Tax" Hoax: Anti-Semitic Recipe for Hate. (L'arnaque Taxe cachère : recette antisémite de haine). 
http://www.adl.org/special_reports/kosher_tax/print.asp


Moi, Dana, juive ashkénaze, je dénonce, ces pratiques d'escroc. Et j'affirme qu'il est inadmissible et intolérable que lorsque un non Juif dénonce des vérités cent fois, mille fois vérifiables, il soit traité d'antisémite.

ADL et consorts sont des menteurs et des imposteurs : ce sont eux qui haïssent les goys. 
J'ai moi -même été nourrie à la haine du goy parce que l'on m'a inculqué qu'ils voulaient nous détruire . Comme d'habitude, les Juifs inversent la réalité, se font passer pour des victimes pour pouvoir taper sur ceux qui sont les vrais victimes dans cette histoire et surtout le vrai peuple élu.     
Les Juifs utilisent "l'histoire", l'Holocauste de la Seconde Guerre Mondiale, comme alibi, comme prétexte pour traquer quiconque s'oppose à eux, sous motif  d'antisémitisme.

L'objectif des juifs est de détruire les goys en commençant par les asservir.
Des goys qui sont déjà les esclaves économiques de leurs maîtres juifs.

Voilà comment se présente le logo kosher aux USA.
En Europe, le logo est placé sur le côté ou sur l'arrière de l'étiquette.

Cliquez pour agrandir

D'autant plus étonnant que sur les presque 300 millions d'américains, il n'y a que 6,5 millions de juifs (données wikipédia 2008).
Donc si les juifs étaient si vertueux, aussi altruistes qu'on veut nous le faire croire, ils ne feraient pas payer la bénédiction de leurs rabbins sur des milliers de produits alimentaires mais au contraire l'offriraient puisqu'elle est tellement importante.
Mais bien sûr ce n'est pas le cas,  puisque au contraire, ils font même payer la taxe sur le papier aluminium, les sacs plastiques de congélation, la lessive, les ustensiles de cuisine etc.

Bien sûr comme d'habitude lorsqu'il s'agit de défendre leurs intérêts, les juifs utilisent tous les moyens pour protéger cette taxe qui ramène un gigantesque et constant flux d'argent dans les caisses. En 1959, le Wall Street Journal estimait le montant encaissé à 20 millions de dollars. Or actuellement, le nombre de références certifiées ayant considérablement augmenté, les sommes se comptent en centaines de millions de dollars sur une année, pour ne pas dire milliards (si l'on compte tous les pays désormais concernés par la kosher tax) mais plus aucun journal n'en parle puisqu'entre temps, le Wall Street Journal a été racheté par des Juifs.    

Aux Etats-Unis, le nombre de produits certifiés cachers était de 225 en 1960, en 1966 il passait à 476 et grimpait à 1000 en 1974.
Aujourd'hui, c'est 17500 entreprises qui ont été intimidées de manière à payer cette taxe.
Je vous laisse apprécier la vidéo ci-dessous qui est en anglais mais les images parlent d'elles- mêmes.
    


(http://koshertax.net)

Le consommateur n’a aucune idée de l’escroquerie mise en place à son encontre, il ignore totalement que telle lettre ou tel sigle sur son paquet de lessive, sur ses chips, correspond au label juif, d’autant que la plupart des ces logos sont discrets.
Les organismes de certification les plus importants ont, en effet, choisi de simples lettres de l’alphabet occidental et non des lettres hébraïques afin de passer inaperçues.

Comment ça marche
Les plus grandes sociétés alimentaires américaines sont, on peut le dire, carrément rackettées par les organisations et associations rabbiniques installées sur tout le territoire américain.
Voilà comment ça se passe : des rabbins se présentent dans ces entreprises pour offrir leur protection contre paiement d’une taxe (la certification cachère). Si l’entreprise refuse, elle est menacée de boycott.
En effet les juifs américains sont informés par leurs différentes "synagogues" des produits cachers bons à  utiliser et de ceux non cachers impropres à leur consommation.
Bien sûr,  il y  a peu de juifs aux Etats Unis proportionnellement à la population totale et au marché concerné mais le chantage ne s’arrête pas là.
Les juifs dominant le commerce de gros et de détail et les médias, ces rabbins leur font comprendre qu'il suffit d'un mot de leur part pour leur faire une contre publicité massive et leur fermer l'accés aux circuits de distribution. 
Alors devinez quoi ! les entreprises apeurées par la puissance du lobby juif et la crainte d’une mauvaise publicité qui leur ferait fermer boutique cèdent en se disant que de toute manière, c’est le consommateur final qui paiera la note.
Il faut savoir qu’aux Etats-Unis, la majorité de la population non juive est entretenue dans la croyance que les juifs sont des victimes, victimes des nazis, et maintenant victimes des arabes.
Et les évènements du 11/9/2001 ont encore renforcés ces  croyances d’autant que les masses américaines, peu éduquées, sont des proies faciles pour ce type de manipulation.
En conséquence, les sociétés ne peuvent pas se permettre de voir leurs produits boycottés par leurs distributeurs, leurs revendeurs et enfin le consommateur final à cause d’une contre-publicité, d’autant que les juifs sont toujours très ingénieux à trouver l’argument le plus vicieux.  

Aujourd’hui, la Union of Orthodox Jewish Congregations avec son logo (U) gère plus de 80% du racket de protection cacher rebaptisé Kosher nostra  par ceux qui dénoncent l’arnaque.
Mille deux cent rabbins sont employés pour parcourir les Etats-Unis d’est en ouest et du nord au sud.
Les entreprises doivent d’abord envoyer un premier chèque avec leur demande d’adhésion, ensuite le montant de leur redevance est calculé selon les divers paramètres énumérés plus haut. Les inspections-surprise sont facturées séparément et les tarifs sont revus à la hausse chaque année.  Il y a même certaines sociétés productrices de viandes dont on exige l’emploi d’un rabbin à plein temps à un salaire extravaguant !
Voilà une belle démonstration du fonctionnement du parasite.
Les consommateurs américains qui font leurs courses au supermarché ne se doutent pas une minute qu’ils contribuent au financement de la politique détestable d’Israel en achetant leur ketchup, leurs céréales, leurs lessives, leurs sachets plastiques alimentaires. Et pourtant c’est bien de cela qu’il s’agit.



EN EUROPE     
Au vu de l'évolution galopante de la culture juive à travers le monde, la liste des produits et des pays recevant la bénédiction rabbinique tend à s'allonger considérablement d'autant que les Etats-Unis imposent ensuite au reste du monde TOUTES leurs règles et lois.


Un Gentil qui ingère un aliment béni par un rabbin. Je n'ose même pas imaginer l'impact énergétique que cela peut avoir quand on sait que rabbins et autres religieux récitent au minimum trois fois par jour dans leurs prières des malédictions à l'encontre des goys  !


Je me suis empressée de vérifier ce qu’il en était au Royaume-Uni et en France au moins sur quelques produits très populaires.
J’ai donc commencé par vérifier le ketchup Heinz qui lui aussi est étiqueté cacher. Le sigle ici est un MK légèrement stylisé placé sur l'arrière de l'étiquette.  Le logo peut aussi être sur le côté.


A ne pas confondre  avec les logos ©®™ qui sont eux les labels de marques déposées ou de copyright.
J’ai également constaté que toute la gamme des céréales Kellogs était aussi cacher et naturellement il y en a d'autres mais je n'ai pas eu le temps d'aller plus loin.
En fait la quantité de références alimentaires cachérisées s'étend rapidement de manière inquiétante puisque le rôle d'esclave économique du consommateur goy tend à s'aggraver.    
Aussi j'invite ceux qui le souhaitent à mener l'enquête et à dénoncer cette escroquerie.
Bien que ce produit soit vendu au Royaume-Uni et en France, il porte le sigle MK pour Montreal Kosher, ce qui veut dire que désormais grâce au mondialisme, les produits casher peuvent être agréés par des institutions juives installées dans d'autres pays que ceux dans lesquels ils sont vendus.
Encore une fois pour Heinz, on dirait bien que deux énormes organisations juives se partagent les millions de dollars annuels générés par ce seul produit.

Voici une liste non exhaustive de logos cacher à compléter selon les pays  

Renversement de stratégie
Voilà comment les situations se retournent (quand on les aide un peu...)  au profit des juifs .
Maintenant, c'est la planète Terre toute entière qui en voie de cachérisation.
Il est grand temps que les non juifs se réveillent et avant qu'il ne soit trop tard, de préférence.


La vidéo montre l'évolution de la cachérisation au Québec (2009).


Le pillage continue ! 
Une des composantes fondamentales de la stratégie juive pour détruire les non juifs est l'appauvrissement par l'argent.
Rendre les goys esclaves, esclaves économiques.

C'est le principe des vases communicants : les goys, non seulement financent les juifs et Israel mais le pire est qu'ils financent leur propre destruction comme nous le verrons dans la seconde partie;


WIKIPÉDIA
Au fur et à mesure de mes besoins, j'ai utilisé wikipédia pour m'informer ou vérifier nombre de mes informations.
Si je prends l'exemple de l'article sur la taxe cachère, il est à noter avec beaucoup d'intérêt que wikipédia  reprend en grande partie le contenu de la réponse que fait l'ADL au sujet de la taxe cachère.
Je voulais juste vous le signaler comme cela en passant mais j'aurai bien sûr le moment venu, l'occasion d'y revenir.

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Pour l'instant voici la vidéo annoncée sur les procèdures d'abattage du bétail pour cachérisation.

PERSONNES SENSIBLES D'ABSTENIR     

Les animaux ont des émotions au même titre que les humains. Aussi, il nous est difficile d'imaginer la frayeur et l'horreur sans parler de la souffrance que doivent vivre ces pauvres bêtes.


Voilà comment les juifs traitent les animaux et vous allez découvrir au fur et à mesure comment ils traitent les goys, tous les goys, tous ceux qui ne sont pas le peuple élu !

A lire aussi l'article de Jeff Rense
http://www.rense.com/general24/koshernostra.htm
LA RELIGION JUIVE



I- INTRODUCTION
Définitions de la Jewish Virtual Library 
Le Judaisme est la religion du peuple juif. C'est la première religion monothéiste et elle fait partie des plus anciennes religions du monde. Universalement connue, elle a influencé de nombreux aspects de la civilisation occidentale.
http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/judaism.html

À la question
Les Juifs sont-ils une nation ou une religion ?
La Jewish Virtual Library, répond :
Le Judaisme peut être considéré comme étant simultanément une religion, une nationalité et une culture.

Lorsque l'on regarde l'histoire de l'humanité, on constate que toutes les plus grandes civilisations ont disparu, peuples et cultures ont été balayées de la surface de la terre. Pourtant, elles avaient la volonté de survivre puisque se perpétuer est l'instinct primordial inhérent à toute espèce donné par Mère Nature dans son infinie sagesse.
Or dans l'espèce humaine, il y a un groupe, une ethnie, une religion, une race qui démontra une volonté de survie, si intense, si féroce qu'elle survécut à tous les bouleversements de l'histoire depuis plus de 5000 ans: les juifs.
Ce constat aussi étonnant que remarquable mérite qu'on s'attarde sur les raisons de cette extraordinaire capacité non seulement à survivre mais aussi à se renforcer puisqu' aujourd'hui les juifs sont en passe de devenir les maîtres de la planète.        

Dans son livre Nature's Eternal Religion, Book 1, Chapter 6 - Masters of Deceit- A Short History of the Jews,  (l'Eternelle Religion de la Nature, Livre 1, Chapitre 6, Maitres en Imposture, Petite Histoire des Juifs) que vous pouvez télécharger avec le lien ci-dessous, Ben Klassen nous dit encore :
(extraits des pages 38 et 39 traduits en français - les passages en gras et entre parenthèses sont de mon fait).         
"Tandis que la glorieuse Race Blanche fut un bâtisseur, un explorateur, un créateur de civilisations, de gouvernements, de nations, le Juif ne fut rien de cela. Au contraire, il fut l'antithèse du noble Homme Blanc ('noble White Man' dans le texte).  A travers son histoire qui remonte à plus de cinq mille ans et durant laquelle, il resta unifié en tant que race, le Juif fut le parasite et le prédateur sur le dos des nations qui furent ses hôtes involontaires. Le Juif n'a jamais été un créateur, ni un bâtisseur, ni un producteur, comme les membres de la Race Blanche. Au contraire, il fut un destructeur de civilisations, un pilleur de nations, un tueur qui inventa l'idée même de génocide dès le tout début de son histoire. Tout ce que nous avons à faire est de lire l'Ancien Testament pour trouver page après page, qu'ils massacrèrent, tuèrent et pillèrent  une tribu après l'autre.
Une nation après l'autre fut exterminée, homme, femme, enfant.
Oui, en effet, les juifs sont une race assoiffée de sang. Ils survécurent sur une longue période de temps bien qu'ils aient été dispersés à travers les autres nations du monde. Ils furent un fléau sur le corps de l'humanité depuis l'aube de l'histoire. Et qui n'a pas diminué dans les temps modernes. En fait, actuellement, elle est plus mortelle que jamais, et alors, que nous, la Race Blanche, sommes la cible principale et les premières victimes choisies pour être détruites, il nous incombe de regarder de près et d'étudier notre meutrier.
C'est une histoire fascinante pleine d'horreur. C'est une histoire ignoble. Mais nous devons l'étudier, nous devons la comprendre, si nous voulons nous tirer d'une situation critique et remplir l'obligation que Mère Nature nous a donnée: à savoir, la survie de notre propre race, la plus noble création sur Terre: la Race Blanche..........
Ils (les Juifs) contribuèrent à la destruction de la civilisation égyptienne, de la civilisation grecque, et furent la première cause de la destruction de la grande civilisation romaine........
En fait, à New-York est concentré la plus grande partie de la population juive du monde et New-York est le centre de la puissance financière, pas uniquement pour les Etats-Unis mais aussi pour le reste du monde.......
Pourquoi c'est la race juive qui a survécu tous ses bouleversements pendant plus de 5000 ans d'histoire alors que de puissantes races comme les Romains périrent? Est-ce parce que le juif est dur ? Nous trouvons que le juif est dur mais d'autres, comme les Romains, furent encore plus durs et ils ne survécurent pas. Est-ce parce qu'il est un bon combattant? Non, il est en fait un lâche physiquement et dans un combat ouvert il est certainement le moins et le plus lâche guerrier. Est-ce  parce qu'il est plus tricheur et imposteur? Peut-être, puisque dans cette caractèristique sans aucun doute, il surpasse tous les autres. Mais ce n'est pas non plus la seule raison qui l'ait fait survivre.
La raison de sa survie tient à sa religion, unique. 
Très tôt dans leur histoire, les juifs réalisèrent l'immense pouvoir que représentait la religion en tant qu'arme - une arme pour unifier leur propre race et une arme pour dissoudre et détruire leurs ennemis.  Depuis des milliers d'années, ils profitèrent au maximum de cette connaissance. D'une manière magistrale, ils manipulèrent la religion à leur avantage avec une ruse si diabolique qu'aucun autre peuple ne semble même jamais l'avoir supectée, en particulier la Race Blanche."    

Ce que dit Ben Klassen est malheureusement une réalité.
Les Gentils n'ont aucune idée du degré de perversité de l'esprit juif. Ils ne peuvent l'imaginer car eux, à l'opposé, sont dotés de coeur, de conscience, de compassion, finalement d'un esprit sain.      


II - NATURE DU JUDAISME
La religion, le judaïsme est l'arme qui réunit tous les  Juifs pour former un peuple à caractère unique. Chez eux, le concept de religion dépasse de très loin la simple pratique religieuse et relève davantage d’une appartenance identitaire raciale, qui explique d'ailleurs le pourquoi de tant de différences physiques,  mentales et comportementales, camouflée par une histoire et un statut pour réaliser leur mission. 
C’est la raison pour laquelle, qu’ils soient pratiquants, très pratiquants ou pas du tout ne change absolument rien à leur solidarité, leur loyauté, leur fidélité envers les leurs, leur religion, leur dieu.

Quel individu se départirait d’une si enviable, si appréciable, si honorable position ? Appartenir au peuple élu, être partie intégrante du peuple choisi par dieu pour "réparer le monde" (Jacques Attali in Le monde, les juifs et l’argent, Editions Fayard  p.140).
Ce petit peuple, ce "peuple-prêtre", comme  le nomme encore Jacques Attali, page 19, devient tout à coup responsable devant dieu de la condition humaine.
"Tout ce que Dieu voudra dire aux hommes, Il le dira à ce peuple. Et tout ce qu’Il lui dira s’adressera en fait à tous les hommes."(Jacques Attali in Le monde, les juifs et l’argent p.19)       

Dans la Genèse (17:4), dieu fait alliance avec Abram et lui annonce qu’il deviendra père d’une multitude de nations et son nom devint Abraham.

A partir de là, le cadre de la religion est posé : les juifs sont des individus à part du reste de l’humanité qui ont reçu les faveurs de dieu dont l'immense privilège de diriger les hommes, tous les hommes.
Ensuite, un code de lois, de règles très strictes réunies sous le vocable de la Loi, qui n'est autre que le Talmud, va régir la vie juive. La religion a tout prévu avec force détails, de la naissance à la mort, de l'hygiène à la sexualité en passant par l'alimentation, la conduite à adopter en toute situation depuis le droit civil, jusqu'au droit pénal en passant par les règles économiques et bien sûr, la manière dont ils doivent penser et gérer leur relation avec les goys.
Je dirai, d'emblée pour ceux qui ne l'auraient pas encore remarqué, que la tournure d’esprit est un point capital et très reconnaissable du judaisme.
Au départ, vu leur teneur, les enseignements se transmettaient oralement, cela relevait de l'alliance, du contrat passé entre le dieu des juifs et son peuple. Ensuite, il y eut nécessité d'en garder trace et ils furent retranscrits dans un recueil dénommé le TALMUD qui devint LE TEXTE FONDAMENTAL
Ses  préceptes qui font office de lois ne doivent être transgressés sous aucun prétexte. Toutes sortes de discussions, argumentations et commentaires rabbiniques y sont compilés et servent de références, d'études de cas en quelque sorte. Des références qui sont actualisées en permanence pour s'adapter aux époques et situations. Ces actualisations deviennent elles-mêmes des références qui viennent grossir le nombre de commentaires et conclusions talmudiques.
Les Juifs sont maîtres dans l'art d'argumenter. Il leur faut être prêt à pallier à toute situation, à répondre à toute attaque. Ce qui est bien compréhensible à partir du moment où l'on prend conscience que leur plan  monstrueux de détruire la race humaine est basé sur le secret et l'imposture. Il est donc vital qu'ils soient en mesure de répondre efficacement à toute accusation d'autant qu'ils savent qu'ils n'ont pas n'importe qui en face d'eux comme ennemis.
Si les Gentils étaient davantage conscients du pouvoir qui les habite comme de la vraie nature des juifs, ce ferait longtemps, que ces derniers auraient été décimés. C'est la raison pour laquelle, une stratégie ultra-sophistiquée fut mise place. Les juifs doivent être constamment sur leurs gardes, prêts à répondre à toute attaque, à l'affût de toute  information les mettant en danger, traquant comme des bêtes les goys alors que ceux sont eux les bêtes et les goys, la race des seigneurs.
     
Il est donc aussi nécessaire que vital de transmettre cet art aux jeunes générations qui doivent prendre le relais. C'est la raison d'être des Yeshivas (écoles juives religieuses) où les jeunes garçons apprennent toutes les tactiques d'argumentation, de discussion pour acquérir cette fameuse tournure d'esprit tordue, tellement essentielle à la survie du judaisme et des juifs pour accomplir leur mission. Et surtout ne porter la lutte que sur le seul plan idéologique et intellectuel alors que le vrai combat est ailleurs, sur le plan occulte. Ils deviennent à leur tour les avocats, les hommes de loi du judaisme, les docteurs de la loi juive.  Et surtout ils enseignent et informent leurs corélégionnaires afin que tous fonctionnent sur la même logique. 

  •  La première tactique juive est l'infiltration. Dans tous les domaines, dans toutes les couches sociales, dans tous les pays.
    Infiltrer l'ennemi est le point d'entrée vital de la stratégie juive. Infiltrer pour s'informer, pour détériorer le milieu infiltré, le tromper,  l'utiliser grâce à de fausses allégations, le corrompre et finalement en prendre le contrôle pour le détruire. Les juifs sont prêts à tout pour cela. Ils peuvent changer de croyance, de comportement, d'opinion, de langage au gré des circonstances et des besoins. Ce sont de vrais caméléons car la fin justifie les moyens.  
  • Celle-ci n'est plus une tactique mais une constante: tenir un double langage. Chez les juifs, il y a toujours la vitrine et l'arrière-boutique, la scène et les coulisses.    Sur le devant la scène, la vitrine, on donne l'image, on construit la stratégie qui correspond à ce qu'attend la population non juive, en fonction d'une part de ses valeurs et d'autre part du régime politique  dans lequel elle vit. Par exemple, la démocratie est une doctrine politique dans laquelle la souveraineté doit appartenir à l'ensemble des citoyens, alors on laisse ce peuple s'exprimer via différents courants de pensée, différents choix de manière à ce qu'il soit occupé à défendre ses idéaux tandis que dans les coulisses, on fait exactement le contraire en réunissant toutes ces forces, tous ces courants opposés sur un projet commun. 
  • Une autre est d'inverser la vérité. Par exemple, vous entendrez et lirez souvent que la Torah est le livre fondamental du judaisme: il n'en est rien, c'est le Talmud qui l'est.
    "...... toute décision concernant la religion juive doit être basée en dernière analyse sur le Talmud" (The Jews - Their History, Culture, and Religion, Vol.4, p.1332, Jewish Publication Society of America)
    La Torah n'est que le texte écrit par les Juifs à l'intention des Gentils pour établir leur histoire. Il est un livre historico-religieux qui a pour but d'être la référence de base. Pour compliquer encore un peu plus les choses, les juifs emploient des codes (par exemple un mot pour un autre: c'est le cas de 'Torah' qui dans certains textes signifie 'Talmud' et de 'Chrétien' qui signifie 'Gentil'), des mots-codés, des allégories, des symboliques. C'est une façon de masquer à qui s'adresse réellement l'injure, la malédiction.
  • Il y en une autre qui consiste à traiter les Gentils de ce qu'ils sont eux-mêmes. Comme celle que j'ai énoncée plus haut : les juifs, le peuple élu, traitent les goys de bêtes alors que ce sont les juifs qui sont, ô combien, des bêtes, et les goys, le peuple élu. En effet, leur Créateur leur a fait don de son ADN divin. Et c'est bien la seule race qui ait reçue un tel cadeau lorsqu'elle fut engendrée.  C'est aussi la raison pour laquelle elle doit être à tout prix détruite, trop dangereuse ! (Naturellement tout ceci est développé et documenté au fur et à mesure).
    C'est la notion du miroir qui est aussi une constante dans leur tactique.
    Une fois que l'on en prend conscience, leur stratégie est beaucoup plus lisible et  donne beaucoup d'informations sur ce qui est bon pour nous et qu'ils veulent à tout prix qu'on évite, tous domaines confondus !
  • Une autre tactique est de créer des courants antagonistes à l'intérieur de la communauté, chacun soutenu par des docteurs de la  loi juive (les rabbins) ou des individus reconnus hauts en couleurs dénommés le plus souvent intellectuels, philosophes, avec pour supports des textes, idéologies, des concepts qui générent ces points de vue et donc des analyses totalement opposées. Ces textes, concepts, idéologies totalement contradictoires les uns avec les autres sont  ensuite disséqués et utilisés comme matière à argumentation et confusion entre les différents catégories de juifs, plus ou moins "bons"ou plus ou moins "mauvais".
    Le but est que le non juif soit leurré et prenne parti pour celui qui se rapproche le plus de ses valeurs. 
    Cette tactique possède un aspect plus soft qui consiste à diversifier les interprétations des textes afin que chacune d'elles apporte une variante dans l'explication et la signification. Elles sont ensuite répertoriées avec le nom de leur auteur et prêtes pour utilisation.
    En ratissant très large,  les interpétrations des textes, comme les réactions et les combats apparemment opposées entre juifs, ils coupent l'herbe sous le pied des Gentils. Les juifs ont ainsi toujours un argument à avancer pour contrer les Gentils, preuves  à l'appui.
  • Mais la pire est celle qui consiste à créer et manipuler tous les concepts idéologiques, politiques, intellectuels du Nord au Sud, d'Est en Ouest, d'un bout à l'autre de la planète. Tant que nous sommes sous un régime démocratique où tous les courants peuvent soi-disant s'exprimer sur tous le sujets, il est absolument vital que les juifs aient le contrôle en amont (directement ou via leurs larbins ou 'associés')  sur tous les mouvements, idéologies qui constituent cette palette faussement démocratique.  Le but : cerner l'ennemi, le Gentil qui  balloté d'un parti à l'autre, d'un concept à l'autre, d'une idéologie à l'autre, n' a pas conscience que ce sont toujours les mêmes qui tirent les ficelles : les Juifs. 
  • Une autre est de reconnaître qu'il y a chez les juifs comme dans tout autre catégorie de population,  des racistes, des fanatiques, des xénophobes mais que ceux-ci sont marginaux et ne représentent en rien la majorité bienveillante des juifs, le juif standard en quelque sorte !
Il est à noter également que le rapport du dieu juif aux rabbins juifs est pour le moins curieux. En effet très souvent dans les textes sacrés, nous pouvons lire que Jehovah alias Yahvé, le dieu des Juifs, demande conseil aux rabbins lorsqu'il a des affaires délicates à régler.
Rabbi Menachen, Comments for the Fifth Book

Jehovah lui-même étudie le Talmud, disant qu'il a tant de respect pour ce livre.
Tractate Mechilla/Me'ilah  

Logiquement c'est l'humain qui a besoin de conseil et de guidance de son dieu et non pas le contraire.
Faisant ce constat à plusieurs reprises au cours de la lecture des textes sacrés, j'ai eu le sentiment qu'il s'agissait davantage d'un partenariat ou d'une association entre le dieu des juifs et son peuple.
Et finalement, c'est bien la réalité et c'est le pourquoi du statut si particulier du peuple juif.


L'AFFAIRE ERIC ZEMMOUR
Je souhaite profiter d'une actualité française récente pour dire un mot ou deux sur l'affaire Zemmour qui illustre parfaitement ce que je viens d'évoquer.
Je précise que mon propos n'est pas ici de prendre parti pour ou contre mais plutôt d'expliquer la stratégie juive.    

Les faits
Pendant l'émission du 6/03/2010 de Thierry Ardisson Salut les Terriens, Eric Zemmour a dit : " Les Français issus de l'mmigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes."

Les conséquences
Cette petite phrase a fait scandale, déchainé les foules, les uns le soutenant, les autres le traitant de tous les noms.
Des plaintes ont été déposées, un procés attendu. 
Les médias, tous confondus, accourent comme à leur habitude pour servir de relais des  différentes réactions de la population civile, politique, célèbre et autres.

Voici quelques uns des titres des nombreux articles sur le sujet relevés sur internet. 
  • "Le MRAP en appelle au CSA après des propos controversés d'Eric Zemmour", Libération le 9/03/2010
  • "Les propos d'Eric Zemmour divisent le Figaro"; Libération le 23/03/2010 
  • "Pour l'avocat général Bilger, effectivement, 'beaucoup de trafiquants sont noirs et arabes'", Libération le 24/03/2010 
  • "Ardisson attaque Zemmour en diffamation", Libération le 24/03/2010   
  • "Eric Zemmour sauve sa tête au 'Figaro'", Libération le 25/03/2010
  • "Affaire Zemmour : l'avocat général Bilger 'convoqué' chez le procureur général", Libération le 25/03/2010
  • "Zemmour ne regrette rien" , Libération le 28/03/2010
  • "Zemmour, la position du réactionnaire",  Libération le 17/05/2010
  • "Pour Benamou, Zemmour est fasciste", Europe1le 30/05/2010
  • "Zemmour, le polémiste face à la justice  Europe 1 le 11/01/2011
  • "Zemmour dénonce une 'inquisition', Europe1 le 11/01/2011
  • "Zemmour: 'Mes propos sont brutaux, mais la réalité est brutale'", Libération  le 11/01/2011. 
  •  "Eric Zemmour, au tribunal comme à la télé",  Libération 12/01/2011
  • "'Trafiquants noirs et arabes' : quand Chevènement défend Zemmour",Libération 12/01/2011
  • "Si je devais attaquer Zemmour à chaque fois que je suis en désaccord avec lui" Libération 13/01/2011
Jugement
"Eric Zemmour a reçu une comdamnation de principe",
"Le parquet a requis vendredi la condamnation du chroniqueur Eric Zemmour pour diffamation et incitation à la discrimation raciale en laissant le soin du tribunal de Paris d'apprécier la peine."  
Infos Yahoo le 14/01/2011 

Concernant différents protagonistes, nous avons  :
  • Eric Zemmour, juif
  • SOS racisme dont l'un des fondateurs est Julien Dray, juif
  • Patrick Klugman, avocat de SOS racisme dans cette affaire contre Eric Zemmour, juif
  • Le MRAP, mouvement crée en 1949 par des membres de Mouvement National contre le Racisme et de la Licra (nombreux juifs )
  • La Licra (Ligue Internationale contre le Racisme et l'Antisémitisme), juifs
  • L'UEJF (l'Union des Etudiants Juifs de France), juifs
  • Sabrina Goldman, avocate de la Licra, juive
  •  Georges-Marc Benamou, juif
CONCLUSION
  • Eric Zemmour par sa déclaration démontre qu'il n'est plus possible de parler librement en France, même si ce qui est dit relève d'une réalité corroborée par des chiffres.
  • Les différents mouvements, associations listées ci-dessus ont été initiés à l'origine par des juifs suite à des évènements historiques individuels ou collectifs qui ont été bien utiles à leur création
  • Les grande majorité des protagonistes sont Juifs et appartiennent à des obédiences politiques opposées 
  • Les faits de société dénoncés dans cette affaire sont la résultante de stratégies politiques auxquels les Juifs ne sont pas étrangers
En défendant des points de vue variés et opposés qui sont le reflet de tendances goys internes à la société française, ils confortent ces courants et opinions déjà existants dont ils pourront se prévaloir avec pour résultat majeur que les goys ne peuvent accuser et soutenir que les juifs sont tous pareils. Tactique qui a aussi le gros avantage de nourrir l'illusion en la démocratie le temps nécessaire.     
La morale de cette histoire est que si vous, Gentils, descendez dans l'arène en prenant parti pour l'un ou l'autre camp, vous êtes cuits.
Parce que vous penserez, "eh bien lui au moins, il est bien, il est pas comme les autres, il est juste, il est humain etc... ".
Vous entrez dans une relation individuelle entre vous et le juif en question (même si vous ne le rencontrez jamais), vous y mettez et y projetez tout ce que vous êtes par nature; émotion, sentiment, conscience, compassion.    
L'erreur à éviter est de penser que les juifs sont des individus dotés de coeur, de compassion, de conscience comme vous.
Ce qui n'est pas le cas du tout.
Leurs choix et actions ne sont guidées que par l'intérêt !  Un intérêt commun !
Vous ne serez jamais gagnants face à des juifs qui travaillent depuis des centaines, des milliers d'années à adapter leur stratégie, leur argumentation pour finalement vous "avoir" jusqu'au moment où vous ouvrirez enfin les yeux et là il sera trop tard.
Ces affaires relayées par les médias ne sont que des show, des mises en scène destinées au grand public qui permettent de donner le change aux comportements  plus que discutables des juifs par ailleurs et de détourner les gens de problèmes  autrement plus graves.

LES JUIFS, MAÎTRES EN MANIPULATION, EN ORGANISATIONS ET RÉSEAUX.
La tactique juive consiste à déployer et infiltrer la société des Gentils afin qu'il n'y ait pas un concept, une seule idée Gentille qui ne trouve son écho chez un juif.
Des juifs qui deviennent ensuite leaders de ces idées et concepts, emmenant dans leur sillage de nombreux Gentils.
Cette stratégie hautement efficace dissout instantanément toute possibilité de généraliser le comportement juif et par la-même de porter un coup fatal à l'atteinte de leur objectif final.  
Il est fondamental de prendre conscience que la société des Gentils, à l'origine,  respecte et valorise l'individu, ses idées, ses caractéristiques propres. ELLE EST DONC INDIVIDUELLE PAR NATURE.
Alors que de son côté, la communauté juive ne prône et n'autorise que le COLLECTIF sous ordre de son commandant en chef, dieu. Mais  pour mener à bien sa mission, elle a du s'adapter, et continue de le faire, à la nature et aux comportements de ceux qu'elle a pour but de détruire.

Les Juifs constituent une armée hyper entraînée et préparée sur le plan idéologique et intellectuel. Cette "armée" endoctrinée depuis son plus jeune âge est comme téléguidée, briefée avec pour but d'infiltrer chaque fibre de la société gentille afin de récupérer ses idées, les reprendre à son compte et finalement en avoir le leadership. Il n'y a pas une idée gentille, pas un concept qui passe par maille. Des idées et concepts qui sont ensuite débattus sur la place publique et peuvent ainsi démontrer à face du monde goy combien les juifs ne sont pas tous pareils, qu'ils se battent idéologiques comme les Gentils. Que finalement, il n'y a aucune différence entre un Gentil et un Juif. 
A partir du moment où le Gentil, qui lui n'a pas accès à la grande scène médiatique, adhère au juif qui défend son point de vue, le Juif a gagné et le Gentil a perdu.       

C'est à l'image du cercle où chaque point formant ce cercle correspond à un concept, une idéologie, une idée sur lequel le juif a un contrôle total tandis que le Gentil au centre est comme une balle de ping-pong dans une partie où le nombre de joueurs n'est pas de deux ni de quatre mais à l'infini, autant qu'il y a de concepts.   

Toute cette coordination occulte de forces, d'idées, de concepts est soustraite à la connaissance du goy pour des motifs évidents.
Tout a été fait (et continue de l'être) pour confondre les Gentils de manière à ce qu'il ne sache plus quoi penser ni qui croire. Et surtout qu'il dépense temps et énergie dans un combat truqué. 
Les juifs jouent sur toute la gamme des possibilités et des variantes.  Plus il y en a, plus il y a de confusion, moins ils ont de chance d'être découverts, plus le temps passe, plus le piège se referme
Autrement dit, les juifs jouent des deux côtés, de tous les côtés à la fois pour pièger le centre.
L'objectif : que les Gentils se retrouvent dans une situation sans issue.  

Les juifs ont créé, manipulé tous les concepts idéologico-politiques en  commençant par le socialisme et le communisme. La religion, la communauté juives sont déjà en elles-mêmes un régime communiste travesti en liberté démocratique  pour donner le change.
Dans le judaisme, le collectif a préséance sur l'individuel. Les juifs servent le collectif, la communauté qui finalement EST dieu. Ils sont des exécutants du système communautaire à l'image de la ruche. Chacun ayant son rôle, sa fonction précise dans l'organisation qui possède un cerveau  central, dieu. Une organisation dont les réseaux de communication occulte entre les individus fonctionnent à plein régime.
C'est la raison pour laquelle, les Juifs parlent à tout bout de champ de leur humilité car leur dieu donne et reprend. Il punit ou il récompense. Le Juif travaille bien pour sa communauté, il a pourvoir et argent, il travaille contre sa communauté, il n' a rien et on tente même de lui ôter la vie.
A partir du moment où vous avez un Juif sur la scène politique, médiatique où quelle qu'elle soit avec pour conséquence, un compte en banque bien garni, vous pouvez être certain qu'il sert bien son dieu.          

L'Amérique n'a jamais combattu le communisme. Elle n'a fait que faire semblant. Au début du 20ème siècle,  les juifs ont fini de prendre les rênes du pouvoir aux ÉtatsUnis: pouvoir gouvernemental, pouvoir  financier, pouvoir de la propagande via l'information parce qu'ils n'ont toujours eu qu'un seul but : contrôler la planète via le  communisme.
Leur argumentation, leur propagande très intelligemment construites  reposent sur les valeurs des Gentils: le coeur, la conscience, la compassion. Egalité, humanitaire, droits de l'homme déclinés sur tous les tons et les nuances, et maintenant sécurité. Un discours à l'opposé de l'intention. 
Les Etats-Unis représentaient un réél danger pour eux. Ce qu'ils ont perdu avec la guerre d'indépendance, il fallait qu'ils le récupèrent d'une autre manière. Et c'est ce qu'ils ont mis en place par l'argent.

"Ils (les Juifs) travaillent plus efficacement contre nous que les armées de l'ennemi. Ils sont cent fois plus dangereux pour nos libertés et la grande cause dans laquelle nous sommes engagés. Il est bien dommage que chaque Etat, il y a longtemps, ne les ait pas traqués comme des parasites de la société et les plus grands ennemis que nous ayons contre le bonheur de l'Amérique". 
Maxims of George Washington by A.A. Appleton and Co.

"Je suis tout à fait d'accord avec le Général Washington que nous devons protéger cette jeune nation d'une influence et d'une infiltration insidieuses. Cette menace, messieurs, est les Juifs. Dans quelque pays que ce soit où les Juifs se sont installés en grand nombre, ils ont nivellé les mentalités par le bas; ils ont déprécié l'intégrité commerciale; se sont isolés des autres; ne se sont jamais assimilés; ont construit un état dans l'état; et quand ils se sont vus opposés, ont tenté d'étrangler à mort  financièrement ce pays, comme dans le cas de l'Espagne et du Portugal.         
Depuis plus de 1700 ans, les Juifs se sont lamentés sur leur triste sort, dans le sens qu'ils furent exilés de leur patrie, qu'ils appellent Palestine. Mais, messieurs, si le monde la leur donnait gratuitement, ils trouveraient immédiatement une raison pour ne pas y retourner. Pourquoi? parce que ce sont des vampires, et les vampires ne peuvent pas vivre sur d'autres vampires. Ils ne peuvent pas vivre entre eux. Ils doivent subsister grâce aux autres peuples qui ne sont pas de leur race. Si vous ne les excluez  pas de la Constitution des Etats-Unis, en moins de 200 ans, ils auront proliféré en un tel nombre qu'ils domineront et s'accapareront notre terre, changeront notre modèle de gouvernement, pour lequel, nous Américains, avons versé notre sang, donné nos vies, notre substance, au péril de nos libertés.  
Si vous ne les expulsez pas, dans moins de deux cent ans, nos descendants travailleront dans les champs pour leur fournir la substance, pendant qu'ils se frotteront les mains dans les bureaux comptables. Je vous préviens, messieurs, si vous n'expulsez pas les juifs pour toujours, vos enfants vous maudiront dans vos tombes."

Ces commentaires de Benjamin Franklin furent enregistrés dans "Chit Chat Around the Table during Intermissions", section du Journal de Charles Cotesworth Pickney de Caroline du Sud. Pickney (1746-1825) assista à la Convention des Pères Fondateurs des Etats-Unis en tant que délégué, prit des notes détaillées sur les discours et entretiens qu'il publia plus tard dans son journal.

Malheureusement la  meilleure preuve que nous ayons aujourd'hui de la prophétie de  Benjamin Franklin en 1787 réside en son actuelle réalisation.
Puisque nous verrons que depuis le début du 20ème à cause d'un président qui accepta de vendre son pays aux Juifs en signant le Federal Act, qui allait donner naissance à la Réserve Fédérale, les Etats-Unis ont perdu toute souveraineté et sont en train de basculer dans un règime totalitaire. Depuis le jour fatidique où Woodrow Wilson livra  son pays aux mains des juifs, ces derniers eurent carte blanche pour débuter l'exsanguination du peuple américain.
Une fois qu'ils auront été asservis, ce sera notre tour!                       

Donc non seulement les Etats-Unis n'ont jamais vraiment combattu le communisme mais au contraire l'ont financé, l'ont planifié et lui ont même apporté le soutien technique via de très riches financiers juifs américains. C'est dans l'East-Side new-yorkais que Trotsky et 3000 coupeurs de gorge juifs furent entrainés fastueusement avant d'aller porter le coup fatal aux Romanov. L'entreprise  fut financée à hauteur de 20 millions de dollars par le juif Jacob Schiff de la firme  Kuhn, Loeb and Co de New-York, une branche américaine de Rothschild. Une fois sur place, ils firent leur boulot et c'est plus de 30 millions de Russes qui furent assassinés.
Avant 1917, les Américains étaient hostiles aux tsars, comme les juifs.  Aussi ce  furent eux qui organisèrent le renversement de la dynastie Romanov, une dysnastie viking qui gouvernait la Russie depuis plus de trois siècles et la remplacèrent par un règime tyrannique et dictatorial. La politique étrangère américaine favorisa le Japon dans la guerre russo-japonaise de 1904-05 que les Japonais gagnèrent. Une fois qu'ils eurent mis la Russie aux fers et fait main basse sur ses vastes ressources, la politique américaine tourna totalement (mais secrètement) sa veste et devint pro russe et anti japonaise.
Malgré toute la propagande, le camouflage et la vitrine prônant l'exact opposé, l'Amérique fut, depuis, pro-russe (en fait pro-juive). C'est l'Amérique qui favorisa la la mise en place d'un gouvernement communiste grâce à une aide alimentaire et technique. C'est l'Amérique qui permit le forage des gisements de pétrole russes. Lorsque malgré toute cette aide, elle fut au bord du gouffre au début des années 1930, c'est encore Roosevelt à l'aide de crédits financiers qui la sauva.
Ces passages sont extraits du livre de Ben Klassen " The White Man Bible" que je vous conseille vivement de lire car il donne une autre lecture des évènements qui eurent cours au 20ème siècle, notamment entre les Etats-Unis et la Russie.

Malheureusement à la suite de la création de la Réserve Fédérale qui n'a rien de fédéral puisqu'elle est un groupement de banques privées dont le contrôle est aux mains des  juifs, l'impôt sur le revenu fut élaboré   et toute une organisation bancaire et financière sophistiquée allait se mettre en place dont le contribuable américain serait la première victime.

III - LE TALMUD
L'Ancien Testament est déjà révélateur en soi avec son dieu cruel assoiffé de sang, même s'il dissimule le vrai visage du judaisme, détestable, révélé dans le Talmud. 

Le Talmud est un texte qui réunit un ensemble de traités portant sur tous les domaines de la vie et les abordant de manière juridique.
L'aspect juridique est l'aspect fondamental INTENTIONNEL du Talmud et plus largement du judaisme.
Toutes les discussions, argumentations et conclusions procèdent du même dessein : la mise en place de lois.
Pour unir les juifs d'une part et d'autre part, pour les imposer aux Gentils.
Dès le départ, les juifs ont eu comme projet de se prévaloir de ses lois et d'en imprégner la société non juive.
Or comme nous le dit la Jewish Virtual Library: " le judaisme  a influencé de nombreux aspects de la civilisation occidentale."
Et le judaisme, c'est le Talmud.
   
Il est naïf et dangereux de croire que les juifs ont agi au coup-par-coup, par hasard, au gré des situations. Bien sûr, ils se sont adaptés aux situations mais pour une seule et unique raison, arriver à leurs fins. Qui consiste à détruire l'humanité, c'est à dire tous les Gentils, autrement dit tous les non juifs, autrement dit tous ceux qui ne sont pas le peuple élu, et s'appropier la planète pour eux.  

Avez-vous déja vu qui que ce soit arriver à quoi ce soit dans la vie si au départ, il ne sait pas ce qu'il veut ?
Non. Bien sûr que non.
Un individu à son niveau est obligé de se fixer des objectifs pour avoir une chance d'y arriver, à plus forte raison un groupe. Ensuite pour les atteindre, il doit développer les qualités de détermination, volonté et persévérance en plus d'avoir une stratégie et d'y travailler d'arrache pied chaque jour.
Ls juifs ne diffèrent en rien des autres pour cela, ils ont besoin de développer ces qualités individuellement et au niveau du groupe.  À fortiori lorsque l'atteinte de l'objectif se situe à quelques milliers d'années de là et que la stratégie doit donc tenir la route sur la distance.
Or nous savons tous pour l'avoir expérimenté que "tenir la distance" est le plus difficile, qu'il faut un désir puissant animé et nourri en permanence par une émotion toute aussi puissante, surtout si cette "distance" se compte en millénaires. Il y a intérêt à être bien harnachés !   

Or,            
Le thème central du Talmud est la haine viscérale pour les non juifs.
Tandis que le juif est un être humain, le non juif, lui, est une bête, un esclave considéré comme la propriété de son maître juif. Il est important de garder à l'esprit que les enseignements du Talmud furent transmis oralement dès l'origine du judaisme. Ensuite, ils furent retranscrits. En conséquence, ces commandements sont  bien antérieurs aux persécutions que subirent les Juifs. Le TALMUD n'est donc pas une réaction des Juifs envers les Gentils mais l'essence même du judaïsme.     
  • "Les Juifs sont des êtres humains mais les nations du monde ne sont pas des êtres humains mais des bêtes. " Saba Mecia 114,6
  • Dieu créa le non-Juif avec une forme humaine afin que le Juif ne se fasse pas servir par une bête. Midrasch Talpioth, p225-L
  • "Si un non-Juif tue un non-Juif ou un Juif, il est coupable; mais si un Juif tue un non-Juif, il est innocent."  Tosefta Qboda 8,5
  • "Il est permis de tuer un délateur des Juifs, partout. Il est permis de le tuer même avant qu'il dénonce." Schulchan Qruch, Choszen Hamiszpat
  • "Un Juif a le droit de violer, de tricher, d'escroquer et de se parjurer mais il doit prendre garde à ne pas se faire prendre, afin que le peuple d'Israël n'en souffre pas." Schulchan Qruch, Jore Dia
  • "Un Juif peut voler un non-Juif, comme l'escroquer par une facture afin qu'il ne s'en rende pas compte." Schulchan AracH, Choszen Hamiszpat 348
Après avoir lu ces quelques échantillons de la pensée talmudique, on comprend aisément pourquoi il fut si souvent brûlé, et ses fidèles expulsés d'un pays après l'autre pendant des siècles.
Ceci eut pour conséquence que de nouvelles versions expurgées virent le jour.
Un texte décent dont les juifs pourraient désormais promouvoir la grandeur.   Les seuls originaux non expurgés sont écrits en hébreu et bien gardés. 

Mais nul besoin d'étudier les textes pour en être imprégné. 
Ces lois sont inculquées à l'enfant juif, religieux ou non, pratiquant ou non afin  qu'elles deviennent une seconde nature.
L'enfant juif tète la haine et le mépris du goy comme le lait qui le nourrit, dès le berceau. Lorsqu'il est en âge de comprendre, ses parents lui enseignent que le goy a toujours opprimé et massacré son peuple, le peuple élu. Qu'il est donc une victime, un martyr qui doit se défendre pour survivre.

Ce qui explique que malgré les vicissitudes du Talmud, sa tradition, ses coutumes et surtout son état d’esprit aient perduré depuis des  milliers d’années.
Elizabeth Dilling dans son livre The Jewish Religion : Its Influence Today, Chapter 2, The Talmud Reviled page 1 (La religion Juive : Son Influence Aujourd'hui, Chapitre 2, L'Injurieux Talmud  page 22) nous dit la chose suivante :
"La première traduction du Talmud Babylonien en anglais date de 1903 par Rodkinson (de son vrai nom M. Levi Frumkin) et fut éditée par Rabbi Isaac M.Wise "Père" du soi-disant "Judaisme Réformé". Rodkinson supprima la plupart des obscénités qui figurent dans le Talmud non expurgé et n'utilisa pas de folios permettant d'identifier les pages comme dans le texte original, mais néanmoins, même cette traduction abrégée est très révélatrice. Voici ce qui est dit en introduction:  
"Les persécuteurs du Talmud, depuis le 1er siècle avant Jésus-Christ, ont varié par leur caractère, objets et actions. Cependant, tous s'accordent sur leur désir, à savoir, détruire son existence. L'étude minitieuse de ses nombreuses vicissitudes justifie sans aucun doute l'affirmation que le Talmud est une des merveilles du monde. Il n'y eut pas un siècle, durant les vingt de son existence, où il ne rencontra de grands et puissants ennemis rivaux entre eux qui ne s'épuisèrent à tenter de le détruire ;   malgré cela, il survécut dans son entièreté et non seulement ses ennemis échouèrent à en détruire la moindre ligne mais ils ne furent même pas capables d'en affaiblir concrètement son influence à quelque moment que ce soit. Il domine toujours l'esprit de tout un peuple qui vénére son contenu comme étant vérité divine et très nombreux sont ceux qui sacrifièrent leur vie et leurs possessions pour le sauver de la destruction. "
(traduction du texte anglais original- les caractères gras sont de mon fait)
texte original sur come-and-hear.com

The Talmud : Heart's Blood of the Jewish Faith"("Le Talmud : le Sang au Coeur de la Foi Juive") était le titre d'un article paru en Novembre 1959, extrait du best-seller de l'auteur juif Herman Wouk qui écrivait régulièrement dans le New York Herald Tribune.     
"Le Talmud est à ce jour le sang qui coule au coeur de la foi juive. Quelque soient les lois, les coutumes ou les fêtes que nous observons - que nous soyons Orthodoxes, Conservateurs, Réformés ou de simples sentimentaux spasmodiques - nous suivons le Talmud. Il est notre loi commune à tous."     
Elizabeth Dilling dans son livre The Jewish Religion : Its Influence Today, Chapter 1, The Pharisees, The Talmud and Modern Judaism page 14.

La transmission des parents aux enfants est un des piliers du judaisme. Lois, traditions, coutumes sont léguées de génération en génération  par les aînés à leurs descendants, enrichies de leurs expériences et surtout de leurs souffrances.
Transmettre la mémoire juive est une base ; elle induit le respect des aînés, de leurs  vécus, de leurs souffrances et l’obligation de les honorer. Ce fondement qui prend une dimension très particulière dans la religion juive contribue à préserver la mission qui ne s’est donc jamais perdue ni affaiblie dans les méandres du temps et de l’histoire, bien au contraire. 
La crainte de dieu comme celle de ses parents est enseignée à chaque petit juif, et renforce encore cette pérennité. Il est vraiment déconseillé de désobéir à dieu comme à ses parents. L’enfant juif doit les vénérer en toute circonstance, quel que soit ce qu'il vit !
Mais le judaisme est aussi une pratique religieuse faite de prières, de rites, du respect d’un calendrier de fêtes directement corrélé à leur histoire afin qu’ils se souviennent toujours du vécu de leurs ancêtres.
Ainsi vous pouvez constater comment tout a été pensé jusque dans le moindre détail  et verrouillé à l'intérieur de la communauté. 
Et ce n'est que la partie visible et la plus connue.

IV - LA MAGIE HÉBRAIQUE 

Il y en a une autre "invisible" qui relève de procédés magiques en rapport avec la Kabbale. C’est elle qui est à l’origine de la puissance juive comme elle est, inversement, à l’origine des malheurs des Gentils.
Les juifs ne sont pas arrivés à la situation de pouvoir actuel par hasard.
Il leur a fallu se "procurer" la Connaissance, la vraie dont la magie qui n'est rien d'autre que l'alchimie, l'utilisation et la manipulation des cinq élements primordiaux de la Création, est une composante majeure.   

Cette Connaissance à l'origine appartenait aux Gentils. C'était leur Père, leur Créateur qui la leur avait transmise. Elle leur fut volée et utilisée contre eux. Dès que les juifs se l'approprièrent, ils eurent en main les moyens magiques de maudire les Gentils et de bénir les leurs.
Aujourd'hui cette connaissance occulte est sous la responsabilité des rabbins, des hassidim, et de tous les juifs religieux et orthodoxes qui la pratiquent pour protéger le peuple juif et continuer de détruire les non juifs. C'est leur travail quotidien et ils reçoivent un salaire de la communauté pour cela.
Par exemple, chaque jour, les religieux prononcent des bénédictions pour les Juifs et des malédictions contre les non juifs.
Ce sont des rituels de prières quotidiennes réalisés par des milliers d'individus, vous imaginez la puissance que cela peut avoir et l'impact sur les pauvres victimes qui entre temps ont été  asservies spirituellement.
Tandis que notre société voit d'un très mauvais oeil, la sorcellerie, la magie et tout ce qui est lié à l'invisible, à l'occulte, les Juifs LES utilisent à plein régime puisque là est la Connaissance primordiale, le pouvoir de création.
Leur pouvoir réside uniquement là.
Tant que les goys sont maintenus dans l'ignorance et prenent toutes ces histoires pour pures "foutaises", ils seront asservis spirituellement aux Juifs.
Le combat ne se passe pas là où les Juifs le placent. Le combat intellectuel est important certes, puisqu'il permet déjà de prendre conscience mais il doit ensuite se déplacer sur un autre terrain, l'occulte.  
          
De nombreux non juifs sont désormais au fait de ces pratiques et les dénoncent  comme Elizabeth Dilling qui nous dit toujours dans son livre au Chapitre 3, The Talmud and the Bible Believers, page 38, paragraphe "The 18 Benedictions"  :
"Le juif orthodoxe "religieux" récite les "Dix-huit Bénédictions" or Shemoneh Esreh", trois fois par jour, les jours de semaine, 4 fois les jours sacrés et Shabbats, dont la 7ème et 12 ème maudissent les Chrétiens et les non juifs. Par conséquent le "bon juif orthodoxe"nous donne à nous, Chrétiens, 6 malédictions, les jours ordinaires, 8 les jours "spéciaux". Notez toutes les variétés de double langage qui furent utilisées à travers les siècles pour cacher la vérité sur le Shemoneh Esreh aux non-juifs qui n'auraient pas été aimables avec ceux qui récitent cette "Fraternelle" litanie religieuse 6 à 8 fois par jour ! Notez " Pour parer à des mauvaises interprétations, le texte fut modifié..." et une modification après l'autre pour tromper les non juifs ".
            

V - LE JUDAISME : UN  SYSTÈME JURIDIQUE  
LE SANHÉDRIN
Le Sanhédrin, qui autrefois représentait l'autorité centrale du judaisme, le tribunal juif, jugeait toute situation d’ordre civile, juridique, économique à l’intérieur de la communauté mais aussi en relation avec les non juifs a été rétabli officiellement en 2007 à l’initiative de rabbins sionistes. Voilà un élèment très révélateur du plan qui se met en place actuellement.
Néanmoins, il faut savoir que le fonctionnement du sanhédrin ne s'est jamais interrompu.
Comme il faut savoir que la loi juive est à la base du système légal des Etats-Unis.  
http://www.come-and-hear.com/editor/cp-jw-01-08-03/index.html
Il est donc intéressant de noter qu'en 1999, la Cour Suprême des Etats-Unis (qui est le sommet du pouvoir judiciaire aux USA et le tribunal en dernier ressort ) accepta de prendre en compte un amicus brief basé entièrement sur la loi talmudique.
Qu'est- qu'un amicus brief ?
C’est un document qui est présenté dans un tribunal par quelqu’un qui n’est pas directement lié au cas jugé. L’exemple le plus classique d’amicus brief est un document enregistré par un groupe de pression (un lobby). L’information additionnelle qu’on trouve dans un tel document peut être utile au juge évaluant l’affaire et elle devient partie intégrante et officielle de l’affaire.

Ce nouveau Sanhédrin prône, entre autres, le rétablissement du Korban Pessah qui correspond au rite sacrificiel de l’agneau pascal dont le sang était placé sur les linteaux des portes des maisons des Hébreux, en signe de reconnaissance afin de  recevoir la protection divine, et dont la chair était consommée après avoir été grillée par le feu. Ainsi ils démontraient leur volonté de se détacher totalement de l’idolâtrie égyptienne !

En fait, la religion juive est basée sur la Loi. Des lois pour les juifs qui générèrent celles des Gentils pour les Gentils puisque dès le début de leur histoire, les juifs  n'eurent qu'une obsession; codifier, réglementer, légiférer sur ce que devaient être les relations entre juifs et Gentils.  
Leur Loi leur fut donnée par leur dieu. Or pour se conformer à la Loi de leur dieu, il y eut nécesssité de l'imposer aux hommes, à tous les hommes, donc à tous les non juifs.

Cet aspect juridique eut le double avantage, d'une part d'édicter les règles légales, juridiques qui se mettraient progressivement en place  dans toutes les nations non juives
et
d'autre part de travailler, de préparer, de collecter au fur et à mesure une argumentation de fond qui serait mise à jour et utilisée selon les besoins et les époques. 
Puisque l'histoire et le statut de cette religion ne sont que pure imposture, il fallait comme je l'ai déjà évoqué, être prêt à se défendre sans pour autant en avoir l'air.

Ainsi une argumentation juridique serrée, compliquée et tordue se mit en place afin que les juifs aient toujours un moyen légal, historique ou religieux, de retomber sur leurs pattes. "Tel passage de tel texte dit ceci ou cela".
Ensuite, au fur et à mesure que les juifs gagnèrent les places de pouvoir partout dans le monde, la civilisation occidentale fut influencée par le judaisme, comme le confirme la Jewish Virtual Library, en commençant par les Etats-Unis. Aujourd'hui cette Loi juive, le Talmud, est en passe de  devenir la Loi de la planète: le processus de Talmudization de la planète est en cours.  Et tout sera qui sera hors la Loi sera puni. Punition pouvant aller jusqu'à la mort.
Même si la Bible n'est pas le Talmud, on a un avant-goût de ce qui attend les réfractaires.
"Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront...." Genèse 12:3

Des lois donc qui ne sont mises en place qu'à l'intention des seuls non juifs même si pour cela, il est nécessaire de démontrer le contraire grâce à quelques juifs accusés, jugés, et quelquefois sacrifiés pour le   bien de tous.
Pour le dieu des juifs si compassionné envers son peuple, ce n'est pas un problème de sacrifier certains de ces fidèles pour faire avancer le processus sans éveiller les soupçons, ou a tout le moins, que ceux qui  oseraient soient battus en brèche.

Il est peut être intéressant de relire l'Ancien Testament avec un autre regard en le superposant à notre époque pour comprendre l'état d'esprit, la mentalité et les buts du dieu des juifs !


VI - DIVISER POUR MIEUX RÉGNER
Paradoxalement à son système communiste, le judaïsme offre vis-à-vis de l’extérieur une image démocratique, d’ouverture, de liberté de penser, de liberté de choix alors qu’il n’en est rien.
Oui bien sûr, un juif peut préférer être laïc ou orthodoxe, de droite plutôt que de gauche ou vice versa, ou encore être sioniste ou ne pas l’être mais cela ne change rien au fond. 
Il est né juif et reste juif.
Solidaire et loyal envers sa religion. Surtout lorsque viendra le moment de récolter les  fruits que sont richesses et pouvoir après tant de souffrances !  
Sa vie ne lui appartient pas. Il est au service d'une communauté et, comme je l'ai déjà dit, selon ce qu'il fait pour elle et donc pour servir ses intérêts, il est plus ou moins récompensé avec argent et pouvoir.
Au delà de leur discours et bien que paraissant être dans des clans opposés, tous avancent dans la même direction: la mission ultime donnée par leur dieu, s'approprier définitivement la Terre et détruire la grande  majorité des non juifs. Les survivants seront esclaves.

"Lorsque viendra le Messie, chaque juif aura 2800 esclaves."
Simeon Haddarsen, fol.56D

Toute cette palette d’idées, de choix politiques ou idéologiques n’existent que pour donner le change et être en cohérence avec la tactique qui consistait à donner l'illusion d'une société démocratique avant de progressivement la modifier en régime totalitaire.

La démocratie avait de multiples avantages comme celui de faire croire à la souveraineté des peuples mais aussi et surtout de créer toute une gamme d'idées, de concepts dans tous les domaines de la vie afin de créer l'illusion et la confusion.
En effet, si tout avait été uniformisé, à l'image du communisme, il n'aurait jamais pu se créer les innombrables clans, groupes, organisations, partis qui ont si bien participé à semer la confusion.           
Cette stratégie machiavélique a été mise en place pour leurrer les non juifs sur les plans intellectuel, idéologique, religieux entre autres  et sur le plan concret, pour tisser une toile de manière à investir chaque strate de la société dans tous les domaines et partout.
Partout où il y a des non juifs, il y a des juifs pour s'infiltrer, manipuler et finalement tirer  les ficelles.
J'en profite pour dire que le nombre des juifs n'est pas de 14 ou 15 millions comme annoncé officiellement. Il faut le situer au minimum à 50 millions, sans compter bien sûr tous les larbins goys déjà à leur solde.       
Leurs apparentes divergences ne sont que diversions pour semer la confusion, nourrir les divisions existantes du monde extérieur afin de détourner les non juifs de la  vérité vraie, leur donner l’illusion d’une  liberté d’opinion, de la possibilité de choix à l’intérieur du judaïsme.
Pendant que les non juifs sont occupés à se diviser, à se disputer, à se combattre sur la moindre composante de notre société soi-disant démocratique (puisqu'il n'y aucune solidarité entre les non juifs grâce aux juifs), ils ne cherchent pas à étudier et à comprendre les véritables causes de leurs misères qui ne peuvent se révéler que par un travail assidu, approfondi et global, bien au delà des apparences.  
Les juifs, maîtres en manipulation de concepts et de l'esprit, ne prennent aucun risque, l’enjeu est trop élevé.
Ainsi, ils font tout pour ne jamais laisser un dissident à leur cause se manifester de quelque manière que ce soit. Celui qui représente un réel danger doit être au minimum neutralisé. Je suis bien placée pour le savoir.
Tout ce qui est montré au public n’est que pure comédie.
Par contre toute vérité qui met les juifs en danger est bannie, interdite, éliminée des grands médias et leurs auteurs sont harcelés et  traqués sous prétexte d'antisémitisme.
Il faut être très déterminé pour trouver les véritables informations en évitant, entre-temps  de se faire détourner par dix mille fausses-vérités utilisées sur internet  comme écrans par le Mossad et ses larbins dont le premier d'entre eux, la CIA. 
Mais vérité il y a. Et on peut la trouver si l'on cherche bien.


ORGANISER DÉSORDRE ET CONFUSION 
Une chose m’a particulièrement marqué lorsque j’ai pris la décision irréversible de quitter la religion juive: c’est la différence abyssale de perception et de compréhension de la société et de son fonctionnement selon que l’on est à l’intérieur ou à l’extérieur de la communauté.
Le constat est flagrant. Si l’on considère ce qui vient d’être dit plus haut, la première force de la communauté juive est organiser la solidarité entre ses membres vis-à-vis du monde extérieur des non-juifs, qui n'est autre que la loyauté envers leur race. Les juifs forment un groupe compact même s’il est divisé et dispersé dans différents pays.
Le lien est présent et indélébile et pour preuve, n’importe quel juif qui se rend dans un pays étranger peut prendre contact avec la communauté du lieu qu’il visite en allant trouver le rabbin ou en assistant à un office à la synagogue. Une fois son appartenance vérifiée, il se retrouve immédiatement introduit dans la dite communauté.
En effet, une autre des bases de la religion juive est de favoriser les relations entre ses fidèles, en particulier les relations professionnelles.
Les juifs font des affaires entre eux.
Toutes les relations de travail, d'intérêts et d'argent sont encouragées et privilégiées ; aussi entre deux partenaires, le juif choisira naturellement toujours un autre juif.
Par contre, lorsqu'il fait des affaires avec un goy, c'est pour prendre l'ascendant sur lui et s'en servir comme écran ou comme larbin.
Ces pauvres goys n'ont aucune idée de ce qui les attend, même ceux aux niveaux les plus élevés: les juifs ont simplement utilisé leur vénalité pour servir leur macabre objectif.  
Sinon à l’intérieur, il se passe chez les juifs la même chose que dans n’importe quelle société: rivalités,  luttes de pouvoir, hiérarchies, différences sociales etc mais lorsque l’ennemi extérieur menace, les tensions s’effacent instantanément pour laisser place à une unité sans faille, la solidarité.
Parce que tout juif sait qui est son ennemi.  
On peut donc comparer le judaïsme à une secte qui serait coupée du monde extérieur par une enceinte massive.
Cette enceinte, la religion, est d’abord constituée par le statut exceptionnel du juif vis-à-vis de dieu et par voie de conséquence vis-à-vis des non juifs. Ensuite, l’éducation, les règles, les codes, les lois ont pour but de créer et de maintenir une distance entre lui et les autres.
Par conséquent, la pratique religieuse a une importance relative et procède plus des affinités de chacun. Tout juif pratiquant ou non contribue à la pérennité et au renforcement du judaïsme en respectant son identité et son héritage familial. 
L’enfant juif depuis son plus jeune âge sait qu’il fait partie du peuple élu et que ce statut lui confère charge et responsabilité. Aussi, il devient une victime des goys haineux, jaloux et cruels à son encontre contre lesquels il doit se battre et se défendre pour survivre. Voilà ce que les parents enseignent à leurs enfants : haïr tout goy parce qu'il est l'ennemi.
Naturellement selon le niveau intellectuel de la famille, l’éducation est transmise plus ou moins subtilement mais elle est transmise de toute manière. Vous pouvez alors aisément imaginer l’impact psychologique que peuvent avoir de tels endoctrinements. Il peut y avoir des nuances mais aucune de différence sur le fond. C’est sur ces bases que fonctionnent tous les juifs.
Ensuite, il existe une hiérarchie entre les grandes familles, l'élite, qui a une mission  d'importance spécifique et les plus modestes, le peuple,  qui mène une existence banale mais encore une fois toutes, infiltrées dans l'ensemble des couches du tissu social de  leur pays d'accueil participent à leur mission et avancent ensemble dans la même direction, chacune remplissant son rôle à son niveau et  participant au tissage de la toile.

Par contre, lorsque l’on se situe à l’extérieur de la communauté juive, c’est l’opposé que l’on constate. Il règne une énorme confusion et pire encore, la division. Chacun y va de ses idées, qu’elles soient politiques, idéologiques, religieuses ou  autres, ainsi des multitudes de clans, de divisions et de groupes sont créés, chacun pensant détenir ce qui est juste se bat pour défendre son idéal et ses valeurs.
De cette manière, les populations sont occupées à dépenser  temps et énergie sur des sujets qui n’ont qu’une importance relative et superficielle car ils ne sont que divertissements pendant que ceux qui mènent réellement le jeu peuvent continuer tranquillement à ajuster leur plan monstrueux.
Ça s’appelle diviser pour mieux régner !
Plus il y a d’informations, plus il y a de confusion, personne ne comprend plus rien. Personne ne sait plus où il en est... sauf le juif.          
Les gens ne se rendent absolument pas compte combien ils sont manipulés et combien leurs divisions servent des intérêts malveillants qui les dépassent.
Trop peu nombreuses sont les personnes qui mettent le doigt sur les sujets cruciaux. Et toute cette organisation très sophistiquée de notre société actuelle a pu se mettre en place au fur et à mesure grâce à la vie des juifs en diaspora qui ont pu s'infiltrer partout.

VII - LA DIASPORA
La religion juive n’est qu’une arme politique qui a permis de créer un environnement psychologique pour les juifs comme pour les non juifs grâce à une histoire, la Bible,  adaptée pour servir leurs plans.
Si la mission confiée aux juifs par dieu est de tenir le rôle de peuple-prêtre ou de peuple-phare responsable de la condition humaine, il était indispensable que leur élection divine apparaisse clairement dans les textes sacrés afin que nul ne puisse contester la volonté divine.      
C’est bien ce qui a eu lieu. Les juifs en ont conçu une arrogance démesurée tandis que les non-juifs , ceux qui n’avaient pas été élus par manque de chance évident, étaient d’emblée subjugués par le message et mis en état d’infériorité.

Un début prometteur pour la suite des évènements.

Ce qui est étonnant, c’est qu’ensuite le discours ne colle pas avec les faits. Jacques Attali nous dit, par exemple, page 140 de son livre Les juifs, le monde et l’argent :
«Rien n’est bon pour les juifs si ce n’est bon pour les autres également. Ils ne peuvent donc vivre heureux dans un environnement qui ne l’est pas. Aussi leur appartient-t-il de réparer le monde car le monde est, dit la mishna, le résultat d’une brisure de vases. Le rôle du peuple juif est d’aider à le réparer, en étant solidaire de tous les autres hommes.
On trouve trace de cette exigence altruiste dans de très nombreux commentaires. Ainsi le Talmud se demande-t-il comment les juifs doivent aimer dieu. Réponse: en faisant en sorte par l’exemplarité de leurs actes, par l’altruisme de leur conduite, que les autres hommes aiment ce dieu qui pousse ses fidèles à une telle attitude.»

Ce serait à mourir de rire si ce n'était dramatique !

Donc selon le Talmud, il est nécessaire que les juifs donnent l'exemple afin que les autres hommes aiment ce dieu qui pousse ses fidèles à un telle attitude.
Ce qui confirme bien qu'au départ, le dieu des autres hommes, donc des goys, n'est pas le dieu des juifs.
Ce qui, je le répète, est le point capital..... Affaire à suivre
Et les juifs grâce à leur comportement exemplaire (sic) doivent faire en sorte de convaincre les autres hommes d'adopter leur dieu !  

Ensuite, si l’on suit ce que vient de nous dire Jacques Attali, on ne comprend pas bien pourquoi les juifs ne se sont pas assimilés totalement puisqu'ils doivent être solidaires de tous les autres hommes plutôt que de re-créer un état dans l'état.
En fait ce discours est un exemple de pure propagande dans lequel, comme dans tout ce qu'ils font et disent, ils s'inspirent de la vérité qu'ils réaménagent à leur sauce à l'aide de mensonges.
L'imposture est à la base de leur stratégie. 
Fabriquer une fausse histoire basée sur des évènements ayant réellement eu lieu  est le plus sûr moyen de crédibiliser l'ensemble.
Et c'est une tactique juive.  

Quant à l’altruisme des juifs, il vaut mieux rire!

Les préceptes, les règles, les lois juives nous enseignent à nous tenir éloignés le plus possible des goys tout en leur prenant le plus d'argent possible, à ne pas se mélanger à eux comme d’ailleurs le confirme Jacques Attali lorsqu’en parlant de la famille et de la transmission, il nous dit dans le même ouvrage page  130 : "d’où l’obligation de se marier à l’intérieur de la communauté ou à tout le moins d’obtenir la conversion du conjoint."

Il y a en fait deux facettes dans la vie du juif : la vie familiale et la vie sociale.
La vie familiale doit se vivre à l’intérieur de la communauté tandis que la vie sociale  à l’extérieur, en contact avec les non juifs.
La vie communautaire sert à entretenir, à nourrir l’unité, la cohésion, la solidarité, la loyauté afin de ne pas perdre de vue l’objectif "messianique" tandis que la vie sociale sert à mettre en place cet objectif en infiltrant et pillant la société humaine des non juifs.    
Ces deux aspects relèvent d’une obligation et d’une responsabilité divines.
Aussi curieux que malsains, ces commandements sont bien révélateurs d’une stratégie sous-jacente malveillante.

Ils ne peuvent donc vivre heureux dans un environnement qui ne l’est pas.
Les juifs sont, en effet, dépendants de leur environnement par la nature même de ce qu’ils sont : des parasites.
Ce sont des individus de nature différente des êtres humains qui ne peuvent vivre qu’entre eux dans une communauté organisée tel un état dans l’état, tout en vivant au dépens de leurs hôtes (les pays d'accueil). Ils se déploient à l’extérieur pour exécuter leur mission divine d’infiltration, de corruption, de manipulation, de pillage dont le but final est la destruction totale des non juifs via la prise de contrôle du monde.                       

Dans cette perspective, on comprend parfaitement la raison d’être de la diaspora juive qui a joué un rôle crucial dans cette  prise de contrôle.
Sans la diaspora, rien n'aurait été possible. Tout ceci est annoncé dans la Bible qui sert de support historique et prophétique.
Il est facile de prophétiser lorsque l'histoire est écrite à l'avance.
Mais les juifs dispersés ne pensent qu’à une chose : revenir à Jérusalem... future capitale du gouverment mondial.  
Même Jacques Attali nous dit «Jérusalem est un bel endroit pour installer un gouvernement mondial». 
C’est la raison pour laquelle, tous les ans au Seder de Pessah, la Pâque juive, tous les juifs récitent une prière qui exprime leur voeu le plus cher : « Si dieu veut, l’an prochain à Jérusalem.»

VIII - LE SIONISME
J’en profite pour faire le lien avec le sionisme qui fait couler tant d’encre pour pas grand chose.
La Jewish virtual library nous donne la définition suivante du mot sionisme:
Le sionisme, le mouvement national pour le retour du peuple juif dans sa patrie et pour la reprise de la souveraineté juive sur la Terre d’Israël, recommandé depuis le début comme objectifs aussi bien tangible que spirituel. Les juifs de toutes convictions, droite ou gauche,  religieux ou laïcs, se sont rejoint pour former le mouvement sioniste et oeuvrent ensemble dans ce but.
Des désaccords ont généré des conflits mais finalement l’objectif commun d’un état juif sur son ancienne patrie a été atteint. Le terme de sionisme fut créé en 1890 par Nathan Birnbaum.  
Le terme sionisme comme chacun sait vient du mot sion qui désigne Jérusalem et par extension Israel.
Il y a pourtant conflit entre juifs sionistes et antisionistes.
Si on prend l’exemple des Neturei Karta, rabbins ultra religieux et militants actifs contre le sionisme, qui dénoncent par ailleurs des arguments très légitimes, ils déclarent que le retour du peuple juif dans sa patrie est bien prévu par les textes mais que ce ne doit en aucun cas venir d’une volonté humaine mais seulement lors de la venue du messie puisque la vie en exil des juifs est une punition divine.
Donc selon eux, ce n’est qu’une question de timing et ils se basent sur les textes pour le justifier.
Effectivement, ce sont bien des hommes qui ont décidé du retour du peuple juif dans sa patrie en créant à la fin du 19ème siècle, le sionisme qui a vu la création de l’état d’Israel, quelques cinquante ans plus tard.
En fait, la Bible nous informe que dieu récompense ou punit, que l’exil fut la punition des juifs mais n’est pas prévue pour durer éternellement puisqu’ils reviendront à Sion.
En conséquence, ce n’est qu’un point de détail, présent dans la Bible au demeurant,  qui oppose les pro et les antisionistes, encore une fois pour faire diversion et tromper les goys. 

La création de l’état juif sur son ancienne patrie était prévue par les textes comme l’était l’exil. Or si on regarde les évènements de près, ce sont les juifs vivant en diaspora qui ont permis la création de l’état d’Israel en s’infiltrant, manipulant et gagnant ainsi les hautes sphères du pouvoir dans leurs pays d’accueil respectifs, principalement les pays d’Europe, pouvoir qui s’est ensuite déplacé sur le continent américain.  
      
Pourtant, il existe des théories basées sur le dernier livre de la bible chrétienne, l'Apocalypse (Révélation  2:9 et 3:9), selon lesquelles les sionistes ne seraient pas de vrais juifs, qu’ils sont sataniques, on parle même de synagogue de Satan. 
Pourquoi ?
Parce que les sionistes démontrent une cruauté, une inhumanité monstrueuse.
Parce que tout le monde sait que Satan est l’ennemi et l'adversaire des juifs.
Que Satan représente le mal absolu dans la vision chrétienne et que les gens croient que les "vrais juifs" n'ont rien à voir avec les sionistes, qu'ils sont bons et humains,  qu'eux-mêmes ont souffert et que jamais ils ne pourraient commettre des actes aussi horribles.
Promouvoir la vitrine du juif victime et martyr est un élément vital de la stratégie.
Il n'est pas question de laisser penser une seconde que de "vrais juifs" peuvent être profondèment mauvais, cruels et inhumains.
Il faut donc faire porter la responsabilité sur un bouc émissaire. (concept inventé d'ailleurs par les juifs )   
Forcèment, ces juifs-là ne peuvent être que sataniques, donc pas de vrais juifs  !      


Du grand cinéma!

Voilà encore une manipulation de haut vol qui permet de dévier et de concentrer la haine sur les seuls  sionistes qui sont au demeurant intouchables par les positions de pouvoir et d'argent qu'ils ont.
Les sionistes juifs sont juifs. Point à la ligne.
Il faut que vous preniez conscience que ces gens n'ont pas le même mental que vous, les Gentils, qu'ils ne fonctionnent pas comme vous.
Il est important que vous arrêtiez de projeter vos valeurs, votre conscience, votre compassion sur des individus qui en sont totalement dépourvus mais qui par contre les utilisent contre vous ! 
J'ai fait cette erreur pendant plus de quarante ans, je sais de quoi je parle!